En effet, le droit de donation en France favorise clairement la famille, au détriment des amis. La législation en vigueur n’offre que très peu de protection aux non-membres de la famille en cas de transmission de patrimoine. Que ce soit pour une donation de son vivant ou pour un legs posthume, les amis sont lourdement taxés, avec des taux pouvant atteindre jusqu’à 60 % de la valeur du don.
Cette situation peut parfois sembler injuste, surtout pour ceux qui entretiennent des relations privilégiées avec des personnes en dehors de leur cercle familial. La question se pose alors de savoir comment contourner ces obstacles juridiques pour pouvoir transmettre son patrimoine à qui on le souhaite, et ce, dans les meilleures conditions.
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