NOS CONSEILS – Les propriétaires bailleurs en particulier ceux qui ont effectué des travaux de rénovation thermique se retrouvent confrontés à de nouvelles mesures fiscales. Les épargnants, quant à eux, sont moins secoués.
Cette année, les principales nouveautés de la déclaration de revenus concernent les bailleurs, en particulier les loueurs en meublé de courte durée ou les locations touristiques. Ces derniers ignoraient jusqu’au début du mois d’avril comment leurs loyers seraient imposés et déclarés. Quant aux bailleurs ayant amélioré la performance énergétique d’un logement mis en location vide, ils devront vérifier de près si le régime de faveur qui leur est accordé ne se révèle pas finalement défavorable.
Déficit foncier : moins avantageux qu’il n’y paraît
Commençons par les bailleurs qui louent un logement non meublé et déclarent des revenus fonciers, et revenons aux règles d’imposition qui s’appliquent à eux s’ils relèvent du régime réel d’imposition. Cela se produit si leurs loyers bruts (charges comprises) dépassent 15 000 € ou s’ils optent pour ce régime afin de déduire le montant réel de leurs charges plutôt qu’un abattement forfaitaire de 30%. Avec le régime réel, ils peuvent effectivement dégager…
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