CONTRE-POINT – Le récent regain de tension à Nouméa ne peut être attribué à une erreur de méthode gouvernementale ou à un manque de recherche de solutions.
Au sommet de l’Élysée, du ministère de l’Intérieur ou de Matignon? Il est simpliste et trompeur de considérer que le lieu de gestion de la question néo-calédonienne est à l’origine du blocage politique et de la recrudescence de la violence dans l’archipel. Certes, dans la lignée de Michel Rocard (accords de Matignon de 1988) et de Lionel Jospin (accords de Nouméa en 1998), de nombreux Premiers ministres se sont personnellement saisis du dossier et ont montré un grand intérêt.
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