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PORTRAIT – Mira Murati, la cerveau derrière la célèbre intelligence artificielle conversationnelle, se retrouve maintenant au centre de l’attention en ce qui concerne les supposés abus de droits d’auteur pour l’entraînement des intelligences artificielles génératives.
Dans la vallée de Silicon Valley, la réussite ne dépend pas seulement de l’intelligence ou de la richesse, mais aussi de la capacité à prendre les bonnes décisions au bon moment. C’est pourquoi des noms comme Ronald Wayne, John Sculley et Steve Wozniak ne vous diront probablement rien. Wayne a vendu ses 10% de parts d’Apple en 1976 pour seulement 800 dollars ; Sculley a été responsable de l’éviction temporaire de Steve Jobs et a dirigé la création du Newton ; Wozniak, quant à lui, a été l’architecte de nombreuses avancées informatiques à l’origine des premiers succès d’Apple, mais est resté dans l’ombre de Jobs. Mira Murati suivra-t-elle un jour le même chemin? Seul le temps le dira.
En tant que directrice technique d’OpenAI, valorisée actuellement à 80 milliards de dollars, cette brillante femme est née en Albanie de parents enseignants. Après avoir travaillé chez Goldman Sachs et Tesla, elle a fait un passage chez Leap Motion.
Mira Murati est connue pour son expertise dans le domaine de l’intelligence artificielle, mais elle se retrouve maintenant au cœur d’une affaire concernant les possibles violations de droits d’auteur pour l’entraînement des IA génératives. Les enjeux sont énormes, non seulement pour OpenAI, mais aussi pour l’industrie technologique dans son ensemble.
Les défis auxquels Mira doit faire face sont immenses, mais son parcours jusqu’à présent a montré son intelligence, sa détermination et sa capacité à prendre des décisions éclairées. Son destin est entre ses mains et le monde de la technologie attend avec impatience de voir comment cette brillante femme fera face aux challenges qui se présentent à elle.
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