ANALYSE – La course pour la reprise d’Atos atteint son paroxysme. Après cinq longs mois de négociations et de conciliation pour résoudre la dette colossale de 5 milliards d’euros qui asphyxie le groupe informatique et lui redonner un nouveau souffle, l’heure est venue de choisir un repreneur.
Il y a un mois, trois offres étaient sur la table pour Atos : celle du milliardaire Daniel Kretinsky, associé au fonds Attestor ; celle de l’entrepreneur David Layani, en consortium avec Walter Butler et Econocom ; et enfin celle d’un groupe de créanciers détenant une grande partie de la dette. Depuis lors, une bataille de lobbying intense s’est lancée entre les différents prétendants, chacun tentant de rallier à sa cause un maximum de soutien.
Envie de lire la suite ?
Les articles du Journal Le Soir en intégralité pour seulement $5,99/mois