Au cœur de la nuit, un sinistre drame s’est joué dans le quartier de Ben Tiba à Djelfa. Un jeune homme de 19 ans a mis fin à la vie de sa mère, provoquant l’effroi et la peine dans toute la wilaya. Selon les informations du journal « El Khabar », le jeune homme, accablé par une grave dépendance, a commis l’irréparable au sein de leur domicile familial durant les heures sombres de la nuit.
Cette tragédie a plongé la communauté locale dans un état de choc profond et de tristesse incommensurable. L’incident s’est déroulé en face du siège de la daïra de Ben Tiba, laissant les habitants de Djelfa sous le poids de l’incrédulité et de la douleur. Le jeune homme, décrit comme étant sous l’emprise de l’addiction, a pris la décision ignoble de mettre fin à la vie de sa propre mère, choquant et perturbant ses proches et les résidents du quartier.
Les autorités de sécurité sont rapidement intervenues sur les lieux après avoir été alertées. Le suspect a été appréhendé et une enquête a été ouverte pour démêler les circonstances exactes et les motivations de cet acte odieux. Il est prévu que le suspect soit déféré devant la justice une fois les investigations nécessaires menées à leur terme. Cette affaire met en lumière la tragédie humaine qui se cache derrière les problèmes de dépendance et soulève des interrogations essentielles sur la manière dont la société et les institutions peuvent mieux soutenir les familles confrontées à de tels défis.
Les habitants de Djelfa, encore sous le choc, réclament justice et des mesures préventives pour éviter de telles tragédies à l’avenir. Ils se questionnent sur le niveau de soutien offert aux personnes souffrant de dépendances et aux familles touchées par ces problèmes. La nécessité d’une prise en charge adéquate et d’un accompagnement social et psychologique pour prévenir de nouveaux drames de ce genre est urgente.
En attendant les développements de l’enquête et la prise en charge du suspect par la justice, la communauté locale reste marquée par cette tragédie et espère que des leçons seront tirées pour empêcher que de telles horreurs ne se reproduisent à l’avenir. Le deuil et la compassion dominent dans le quartier de Ben Tiba, où l’absurdité de l’acte commis continue de hanter les esprits.