Vinci et Eiffage sont actuellement confrontés à une situation délicate alors que le risque politique refait surface et que les concessions autoroutières se retrouvent dans le viseur de plusieurs partis politiques. Une situation qui suscite des interrogations légitimes, mais est-ce réellement fondé ?
La sélection de valeurs de Lesoir Patrimoine et Bourse se porte mieux qu’au printemps, même si des défis restent à relever. Alors que les risques politiques et financiers augmentent, la décision a été prise de se séparer de l’aventure décevante d’Edenred, ce qui permettra de renforcer les liquidités.
Le Portefeuille de référence de la rédaction a plusieurs objectifs, dont celui de proposer une sélection restreinte et réaliste d’une quinzaine d’actions pour inspirer ses abonnés. Plus important encore, il vise à protéger le patrimoine en limitant les risques lorsque les marchés boursiers sont en baisse.
Il est intéressant de constater que dans notre lettre précédente (La lettre 2074), publiée mi-mai, le Portefeuille accusait un retard de plus de 4 points de pourcentage par rapport à un CAC 40 qui venait d’atteindre un record à plus de 8 250 points. Depuis lors, l’indice a reculé de 600 points et notre retard s’est réduit de près de la moitié, bien que cela reste insatisfaisant.
La décision de mettre fin à notre position sur Edenred s’explique par un timing malheureux en début d’année, alors que la société de services de paiement prépayés a été impliquée dans une affaire judiciaire en Italie. Toutefois, de notre point de vue, cet incident ne remet pas en question le modèle économique du groupe, dont la croissance organique des ventes a d’ailleurs atteint près de 15% au premier trimestre…
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