Le vampire, figure emblématique du cinéma, revient sur le devant de la scène avec une nouvelle adaptation en 2025. Interprété par l’acteur Caleb Landry Jones, ce projet ambitieux se veut une véritable renaissance après l’échec cuisant de DogMan, précédente réalisation du célèbre cinéaste Luc Besson.
C’est à Paris que le tournage de Dracula : A Love Tale a pris son envol. Entre le studio Darkmatters et la cour du Palais-Royal, Luc Besson a dû jongler avec les aléas climatiques du mois de mai et l’effervescence des festivités olympiques à venir en juillet. Une partie du tournage s’est également déroulée en Finlande, une décision motivée par le manque de neige dans le Jura, une région initialement envisagée pour les prises de vue.
Contrairement à DogMan, qui n’a pas su conquérir le grand public, Luc Besson met cette fois-ci tout en oeuvre pour toucher un vaste auditoire. En effet, Dracula : A Love Tale se veut beaucoup plus accessible et promet une approche romantique et novatrice de l’œuvre de Bram Stoker, auteur du célèbre roman éponyme. Aux côtés de Caleb Landry Jones, Christopher Waltz, Zoe Bleu Sidel et Matilda De Angelis complètent un casting alléchant.
« Je ne voulais pas rester cantonné aux stéréotypes du film anglais classique », confie Luc Besson. Son ambition est de rompre avec les conventions pour offrir une vision moderne et originale de Dracula, emmenant son public dans un Paris du 19e siècle en pleine effervescence. Le film promet ainsi de mêler romance, action et suspense dans une relecture inédite de ce classique de la littérature gothique.
Après un parcours semé d’embûches, Luc Besson voit en Dracula : A Love Tale une opportunité de renaissance artistique. Alors que l’affaire qui l’opposait à Sand Van Roy semble désormais derrière lui, le cinéaste mise sur le succès de cette nouvelle adaptation pour retrouver la confiance du public et renouer avec le succès.
À l’approche de sa sortie en 2025, Dracula : A Love Tale s’annonce comme un véritable événement cinématographique, mêlant la sensibilité de Caleb Landry Jones, le talent de Luc Besson et l’aura intemporelle du mythe de Dracula. Une combinaison unique qui promet de marquer les esprits et de redorer le blason du vampire le plus célèbre de tous les temps.