Dans un rapport publié le 17 juillet, Human Rights Watch a révélé la gravité des atrocités commises lors de l’attentat du 7 octobre par au moins cinq branches armées palestiniennes en Israël. Cette attaque a coûté la vie à 1195 personnes, dont 815 civils, dans des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.
Pendant neuf mois, 144 témoins ont été interrogés par HRW pour reconstituer les événements du 7 octobre. Plus de 280 photos et vidéos ont été analysées, permettant de donner un aperçu détaillé de l’assaut, révélant des violations flagrantes du droit international humanitaire.
Il apparaît que les Brigades Izz al-Din al-Qassam du Hamas étaient les principaux instigateurs de ces attaques, bien que d’autres groupes armés palestiniens aient également participé. Les attaques ont touché de nombreuses localités dans le sud d’Israël, causant d’importants dégâts et des pertes en vies humaines.
La réaction de l’armée israélienne a été entravée par divers facteurs, laissant des communautés sans protection pendant de longues heures. Les groupes armés palestiniens ont ciblé délibérément des civils, commettant des exactions inimaginables.
HRW a souligné la nature planifiée et coordonnée de l’attaque, démontrant qu’il ne s’agissait pas d’actes isolés mais d’une opération pensée pour tuer des civils et prendre des otages. Le Hamas a nié toute responsabilité dans ces crimes, rejetant les accusations portées à son encontre.
Les témoignages et preuves recueillis soulignent clairement que des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité ont été commis lors de cet attentat. Des civils ont été délibérément ciblés et des pratiques inhumaines ont été perpétrées sous couvert d’actions militaires.
Le Hamas a tenté de justifier ces actes en accusant d’autres factions palestiniennes non affiliées à sa branche armée d’avoir déclenché le chaos sur le terrain. Cependant, les preuves recueillies contredisent ces allégations et mettent en lumière la brutalité de l’attaque.
En conclusion, HRW appelle à une enquête approfondie sur ces événements pour que les responsables de ces crimes soient traduits en justice. Il est nécessaire de mettre un terme à ce cycle de violence et d’assurer que les droits humains et le droit international soient respectés pour le bien des Palestiniens et des Israéliens.