REPORTAGE – Depuis son lieu de villégiature estival en Corse, l’ancien député du PCF, Fabien Roussel, se plonge dans des réflexions politiques et envisage un possible gouvernement de gauche, tout en pensant déjà à une éventuelle dissolution de l’Assemblée.
En ce lieu préservé et paisible, Fabien Roussel, vêtu de tongs et arborant une barbe de trois jours, s’accorde une parenthèse loin du tumulte politique. Le camping, qu’il souhaite garder secret pour éviter l’afflux de touristes, est le havre de paix où le secrétaire national du PCF pose ses valises chaque été. Niché entre pins et mer turquoise, l’emplacement qu’il occupe depuis des années offre un accès privilégié vers les eaux cristallines et chaudes de la Méditerranée.
L’ambiance est estivale, décontractée et joyeuse autour de sa tente. Hamacs, rosé, rires des voisins, tout est réuni pour un séjour propice à la détente. Fabien Roussel, visiblement ravi de sa situation, plaisante sur le confort apporté par la climatisation improvisée. Dans cette bulle de quiétude, loin des préoccupations politiques, l’ex-député prend le temps de savourer le calme et la beauté de la nature environnante.
Cependant, malgré cette parenthèse estivale, Fabien Roussel continue de réfléchir à l’avenir politique du pays. Évoquant la possibilité d’un gouvernement de gauche et les échéances électorales à venir, il demeure attaché à sa vision d’une France plus juste et égalitaire. Sa présence en Corse ne l’empêche pas de rester connecté à l’actualité et aux enjeux sociaux qui animent le débat public.
À l’abri des regards et du bruit médiatique, Fabien Roussel se ressource dans ce coin de paradis corse, loin des projecteurs et des responsabilités politiques. Pour lui, ces moments d’évasion et de repos sont indispensables pour recharger les batteries et affronter les défis à venir. Dans cette ambiance estivale et décontractée, il laisse derrière lui le fracas de la politique pour savourer l’instant présent et les plaisirs simples de la vie.