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Bien qu’attendus avec impatience en cette fin d’été, les écrivains anglo-saxons ne seront pas les seuls à être mis à l’honneur. En effet, la littérature italienne aura également sa place, avec des auteurs plus ou moins connus qui sauront captiver les lecteurs.
Quatre romans se démarquent particulièrement en cette période estivale, provenant du domaine anglo-saxon. Tout d’abord, James Ellroy nous transporte dans la Californie des années 1960 avec le troisième volet de son Quintette de Los Angeles, intitulé « Les Enchanteurs » (Rivages). Ce récit plonge le lecteur au lendemain de la mort tragique de Marilyn Monroe, offrant un aperçu captivant de cette époque tumultueuse.
Colm Toibin, quant à lui, verra son ouvrage « Long Island » traduit chez Grasset. Ce romancier irlandais de talent nous propose la suite de « Brooklyn », quinze ans après sa première parution, après avoir déjà ébloui les lecteurs avec « Le Magicien sur Thomas Mann ». Michael Cunningham nous emmène également dans le quartier de Brooklyn avec « Un jour d’avril ». Enfin, à 80 ans, Richard Ford fait son grand retour avec son cinquième roman intitulé « Le Paradis des fous » (L’Olivier), mettant en scène son personnage emblématique, Frank Bascombe.
Le lauréat du Nobel de littérature faisant partie des auteurs à publier durant cette rentrée littéraire, le Sud-Africain J.M. Coetzee nous plonge dans l’histoire bouleversante d’un pianiste virtuose septuagénaire tombant amoureux d’une jeune femme, dans son roman « Le Polonais » (Seuil).
Quant à Rachel Cusk, elle nous propose un roman intitulé « Parade » chez Gallimard, offrant sans doute une plongée captivante dans son univers littéraire singulier.
Cette diversité d’auteurs et de thèmes promet une rentrée littéraire riche en émotions et en découvertes pour les lecteurs avides de nouveautés. Chacun de ces romans offre une expérience de lecture unique, plongeant le public dans des univers variés et captivants, à la découverte de talents littéraires internationaux.
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