Les folles croyances de la Silicon Valley se révèlent être un terrain fertile pour les grands noms de la technologie qui cherchent des solutions de repli en cas de catastrophes imminentes. Que ce soit le changement climatique, les pandémies, ou les guerres, des entrepreneurs comme Mark Zuckerberg et Jeff Bezos ont investi dans des « plans B » pour assurer leur survie.
La préoccupation de Mark Zuckerberg pour l’apocalypse l’a amené à prendre des mesures radicales pour assurer sa sécurité et celle de sa famille. Sur l’île isolée de Kauai, son domaine est surveillé en permanence par une équipe de gardes qui assurent sa protection. Mais ce n’est pas tout, caché sous sa villa se trouve un bunker de luxe de 500 mètres carrés, construit à sa demande. Ce bunker est équipé pour résister aux explosions, avec une porte blindée et des passages secrets pour assurer sa sécurité en cas de crise majeure. De plus, le domaine est autosuffisant, avec un système de stockage d’eau et une zone dédiée à l’agriculture pour garantir l’approvisionnement alimentaire en cas de besoin.
Les milliardaires de la tech ne sont pas les seuls à investir dans de telles mesures de précaution. Selon des sources proches de l’industrie, de nombreux entrepreneurs consacrent entre 10% et 20% de leur fortune à des « plans B » tels que l’achat d’une île isolée autosuffisante ou des projets de colonisation de l’espace. Ces mesures peuvent sembler extrêmes, mais pour certains, c’est la seule façon de se prémunir contre les menaces imminentes qui planent sur notre planète.
En fin de compte, la Silicon Valley est un univers où les limites de la réalité sont constamment repoussées. Alors que certaines personnes pensent que ces investissements dans des plans de secours sont exagérés, pour d’autres, il s’agit simplement d’une mesure de précaution nécessaire face à l’incertitude croissante qui entoure notre avenir. Dans un monde où les crises se succèdent et où la stabilité est de plus en plus précaire, il n’est pas surprenant que les plus riches cherchent des moyens de se protéger et de protéger leurs proches. La question qui se pose est de savoir si ces efforts seront suffisants pour nous sauver de notre propre destruction.