Elodie Constantin, la première épouse de Jean-Paul Belmondo et la mère de ses trois premiers enfants, est décédée à l’âge de 90 ans des suites d’un AVC. Elle était non seulement la compagne du célèbre acteur français avant qu’il ne devienne « Bébel », mais elle était également une danseuse talentueuse sous le nom de Renée Constant dans les cabarets animés de Saint-Germain-des-Prés à l’époque.
Leur histoire d’amour a donné naissance à trois enfants – Patricia, disparue tragiquement en 1994, Florence, née en 1960, et Paul, le benjamin né en 1963. Après s’être mariés en 1959, leur union a pris fin lorsque Belmondo a succombé au charme d’Ursula Andress sur le tournage des « Tribulations d’un Chinois en Chine » en 1965. Officiellement, le couple n’a divorcé qu’en 1968.
Paul Belmondo, leur fils, a partagé la nouvelle du décès de sa mère sur son compte Instagram en publiant une photo de lui quelques heures après sa naissance en 1963, accompagnée d’un sobre hommage : « Je t’aime maman, repose en paix ».
Victor Belmondo, le petit-fils de Jean-Paul et le fils de Paul, a toujours témoigné d’une grande affection pour sa grand-mère. Dans une interview accordée en juin 2024 à La Tribune du Dimanche, il a souligné l’importance de la présence discrète mais marquante d’Elodie Constantin dans sa vie, la décrivant avec admiration : « La mère de mon père est d’une élégance rare, d’une force incroyable. Malgré les épreuves, elle ne s’est jamais laissée abattre ».
Pour Victor Belmondo, passer du temps avec ses grands-mères, que ce soit en Camargue auprès d’Elodie ou à Rome auprès de son autre grand-mère, est essentiel à son équilibre de vie. Il exprime ainsi la richesse apportée par la présence de ces figures maternelles dans sa construction personnelle.
La disparition d’Elodie Constantin marque la fin d’une époque pour la famille Belmondo, laissant derrière elle un héritage familial et artistique qui continuera de marquer les générations futures. Son décès soulève une vague d’émotion parmi les proches et les admirateurs de la famille Belmondo, rappelant une fois de plus le rôle central de ces figures maternelles dans la construction de chaque individu.