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TÉMOIGNAGES – Contrairement aux idées reçues, devenir propriétaire d’un cheval de course n’est pas réservé qu’aux grandes fortunes. Les conseils des passionnés qui se sont lancés.
Se remplir les poches en pariant sur le vainqueur d’un grand prix à l’hippodrome de Longchamp, c’est une chose. Posséder un champion, c’est encore mieux… Alors que le monde des chevaux, qu’ils soient de trot ou de galop, peut sembler fermé et réservé aux particuliers les plus fortunés, il est en réalité tout à fait possible d’investir avec un budget modeste. Depuis le mois de février de cette année, par exemple, les stars du basketball français Tony Parker et Nicolas Batum, désormais propriétaires du domaine de Quetieville en Normandie, proposent aux passionnés d’investir dans le développement de leur haras. Les amateurs peuvent contribuer via une plateforme de financement participatif Bricks.co pour seulement 10 euros. Bien sûr, l’investissement direct dans un étalon ou une pouliche peut être plus coûteux, mais n’est pas pour autant un rêve inaccessible. Avant de devenir propriétaire d’un ou de plusieurs chevaux, il est cependant important, comme pour tout investissement, de se poser les bonnes questions. Nous avons interrogé trois passionnés qui ont fait le grand saut. Ils partagent avec nous leurs conseils.
« J’ai eu la chance d’être initié au monde des courses par un ami : on enfilait nos plus beaux habits, nos mocassins, et on passait des journées inoubliables. Depuis lors, j’ai rêvé d’avoir ma propre écurie ». À 52 ans, Matthieu Ponson a réalisé son rêve. Il y a dix ans…
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