Quatre printemps se sont écoulés depuis la sortie de l’album de reprises Frenchy, et Thomas Dutronc est de retour avec un nouveau disque qui explore le territoire de la pop tout en restant fidèle à ses racines dans le jazz manouche. Intitulé « Il n’est jamais trop tard », ce nouvel opus reflète parfaitement l’identité singulière et plaisante de l’artiste, qui s’apprête à le défendre sur scène en 2025.
Lorsqu’on le rencontre pour parler de son nouvel album, Thomas Dutronc se montre incroyablement altruiste. Plutôt que de mettre en avant son propre travail, il préfère souligner le talent de ses camarades musiciens, notamment David Chiron, qui lui a fourni des mélodies entraînantes pour son album pop. Malgré des influences éclectiques allant du reggae à la flûte japonaise en passant par les rythmes de l’Est, Chiron a su s’adapter au style de guitare manouche de Dutronc pour créer une harmonie parfaite entre la musique et les paroles. Le chanteur n’hésite pas non plus à rendre hommage à son manager, ses ingénieurs du son, et le grand guitariste de jazz Stochelo Rosenberg, avec qui il a partagé la scène à plusieurs reprises au cours de l’année passée.
Rencontrer Thomas Dutronc, c’est plonger dans l’univers d’un artiste qui n’hésite pas à mettre en lumière le talent de ceux qui l’entourent. Son nouvel album, « Il n’est jamais trop tard », est un voyage musical entre pop et jazz manouche, porté par des collaborations artistiques qui transcendent les frontières des genres musicaux. Avec sa générosité et son amour de la musique, Thomas Dutronc nous offre un disque qui résonne comme une promesse de concerts inoubliables à venir en 2025.