NOS CONSEILS – Des investissements stratégiques pour minimiser l’impact de la contribution spéciale sur la fortune proposée par le gouvernement dans le budget.
« Nous ne devons pas permettre une optimisation excessive », a déclaré Laurent Saint-Martin, ministre du Budget et des Comptes publics, lors de la présentation du projet de loi de finances pour 2025 (PLF 2025). C’est ainsi que l’une des mesures phares du texte se justifie: les contribuables les plus aisés fiscalement domiciliés en France devront payer au moins 20 % d’impôts sur leurs revenus de 2024, 2025 et 2026.
Cette imposition minimale serait garantie par une contribution différentielle sur les hauts revenus (CDHR) due par les ménages lorsque le total de leur impôt sur le revenu et de leur contribution exceptionnelle sur les hauts revenus (CEHR au taux de 3 % ou 4 %) représente moins de 20 % de leur revenu fiscal de référence (RFR). Un revenu supérieur au revenu imposable, car il inclut des charges déduites, des abattements appliqués ou des revenus exonérés.
Seront concernés les contribuables dont le RFR est d’au moins 250 000 € par an pour les célibataires…
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