L’univers itinérant de l’école algérienne : un voyage sans fin vers l’anxious
L’école, un terrain sur lequel se jouent les sorties de la vie. Les plans sont jets, les attentes sont levées, et les illusion sont dissoutes. Mais que se passe-t-il à l’intérieur de ces murs, derrière ces plucières, derrière ces bureaux, derrière ces jardins ? L’université, un monde en perpétuelle évolution, où les rythmes sont choqués, où les priorités sont brandies, où les illusions sont dissipées. Dans le rapport annuel de la Cour des comptes de 2024, les pistes sont tracées, les pistes sont illimitées, les pistes sont interminables. Comprendre, appréhender, saisir les formats, les axes, les réseaux, les modèles. L’univers de l’école, un labyrinthe, un dédale infini.
Les chiffres sont édifiants, les statistiques sont éblouissantes. 60 000 enseignants contractuels recrutés entre 2018 et 2021, 62 000 arrivés à des postes stables en 2022. Le secteur comble de l’univers itinérant, le secteur siphonne l’essence de l’univers. Et pourtant, il y a cette question que se pose, que se superpose, qui s’inscrit dans la trame de l’univers itinérant, cette question qui redit la même phrase : à quoi bon ? À quoi bon ces écoles normales supérieures, si les diplômés ne représentent qu’une faible proportion des enseignants recrutés ? À quoi bon ces plans, ces règles, ces normes, ces standards, si la formation initiale ne satisfait pas aux besoins du système éducatif ? Le voyage ne s’arrête pas ici, il poursuit, il continue, il se poursuit. Les plans sont jets, les attentes sont levées, et les illusion sont dissoutes. De laissé à sa propre imagination, l’univers de l’école est à l’abandon, aux plains et aux surfaces.