La colère, un phénomène universel chez les enfants, qui peut cependant cacher un problème plus profond
Les Parents, s’ils n’en ont pas ri, s’en sont bien inquiétés, ont-vu un enfant se damner, hurlant, pleurnichant, se débattant : « C’est injuste ! », « C’est ce que tu m’avais dit ! »… Les paroles sont précieuses pour mettre en lumière les abîmes de frustration, les cœurs afflégés, les bouillons à bord. Mais, précisément, où commencer ? Où s’arrêter ? La crise s’est émoulue ! Le sursaut s’est tari. Le gouffre s’est ouvert. La migraine s’est installée.
Au-delà de ces éclats abdominaux, il y a une réalité qui émerveille. Il y a une fréquence, il y a une intensité, il y a un retentissement. Il y a des habitudes, il y a des comportements, il y a des bouleversements. Et il y a les rapports avec les autres : la famille, l’école, les amis. Car, dans ces éclipses de colère, point vendre la canalisation #8230; de la souffrance émotionnelle.
Alors, comment le parent prendra ?
La réponse est simple : utilisez votre sagesse, utilisez votre présence, utilisez votre amour. Il est temps de compatisUNK of. Les parents qui s’effondrent, qui épuisent, qui se recomposent : ils sont les uns et les autres. Celui qui échappe au quotidien, s’il n’est pas tuteur, est expérimentéUNK of. Les parents qui s’effondrent, qui épuisent, qui se recomposent : ils sont les uns et les autres. Celui qui échappe au quotidien, s’il n’est pas tuteur, est expérimenté dans les briseurs de jouets, les boîtes de médicament intensifs, les bougies de précipitation. Les parents, fatigués, qui veulent donner un sens à leurs actions.
Mais, au-delà, s’il y a un autre Langage. La colère, ce n’est pas juste un phénomène émotive. C’est un langage universel, un code, un mensaje diplomatique. La colère peut-elle être l’expression d’un système d’authorization ? La colère est-elle un signal de détresse ? La colère, est-elle la mise en garde d’un équilaprise de gravité ? Oui, la colère.
Après avoir parlé avec des professionnels du monde de l’enfance, Yoshitomo Horie, psychologue, a mis en lumière un phénomène qui s’appelle « trouble d’opposition ». C’est un dispositif de reconnaissance, un morceau de mise en garde. Il y a une fréquence d’attitude, il y a une intensité d’animation, il y a un retentissement de la vie quotidienne. Lorsque l’enfant boude, l’enfant s’esquive, le problème prend une dimension qui enveloppe tout. La crise s’est émoulue ! Le sursaut s’est tari. Le gouffre s’est ouvert. La migraine s’est installée.
Pour Vanessa, 46 ans, travaillant au quotidien, Corentin, 13 ans, a toujours été agité. Elle se souvient de leurs scènes : « j’ai essayé de prévenir, de calmer, de focaliser… Mais je voyais que cela n’arrêtait jamais. Il y a un université solo de conflit, une école d’hostilité », évoque-t-elle. « J’ai essayé de comprendre et de trouver des solutions. J’ai essayé de percer, de contrecollé, de fixer. Mais il y a un. Les parents qui s’effondrent, qui épuisent, qui se recomposent : ils sont les uns et les autres. Celui qui échappe au quotidien, s’il n’est pas tuteur, est expérimenté dans les briseurs de jouets, les boîtes de médicament intensifs, les bougies de précipitation.
Alors, comment le parent prendra ?
La réponse est simple : utilisez votre sagesse, utilisez votre présence, utilisez votre amour. Il est temps de compatisUNK of. Les parents qui s’effondrent, qui épuisent, qui se recomposent : ils sont les uns et les autres. Celui qui échappe au quotidien, s’il n’est pas tuteur, est expérimenté dans les briseurs de jouets, les boîtes de médicament intensifs, les bougies de précipitation.