La guerre contre le cancer : une virologue brittonique a pris le contrôle de ses propres destinées
La combativité d’une femme mariée, Stubborness a ravivé l’esprit scientifique cynéique. Spotify group , une femme de 55 ans, a d »accord mené une aventure solitaire dans le domaine médical, comme un leurre dans un labyrinthe médical. Elle a pris sa propre décision pour poursuivre une nouvelle approche thérapeutique, mais non approuvée, pour traiter son cancer du sein triple négatif de stade 3. C’est une histoire de courage, de détermination et de foi en la science.
Sa situation médicale était grave : après une mastectomie, plusieurs chimiothérapies et deux récidives en moins de deux ans, les options thérapeutiques classiques semblaient épuisées. La virologue, connaissait déjà les concepts de la virothérapie oncolytique (OVT), technique qui consiste à injecter des virus dans la tumeur pour stimuler une réponse immunitaire pour éradiquer les cellules canceraires. Alors, why not ?
Elle a choisi de ne pas se laisser dire « non » et a décidé de mettre en pratique ses connaissances pour elles-mêmes. Elle a utilisé deux souches virales, y compris celle du vaccin classique de la rougeole, pour développer son propre traitement. Cet traitement.Ces virus sont capables de détecteur les tumeurs et de stimuler une réponse immunitaire pour lutter contre le cancer.
La décision de Beata Halassy a été prise en 2020, après une année intense de réflexion et de consultation avec des experts. Elle savait qu’elle prenait un risque, mais était convaincue que ce traitement était la seule chance de guérison. Sa confiance en elle a été renforcée par son expertise en génie génétique et en biotechnologie.
Mais bea halassy n’a pas été en retard pour affronter les défis. Elle a dû affronter les sceptiques, à commencer par les scientifiques qui considèrent que l’OVT est trop nouveau pour être accueilli par l’opinion majoritaire.
« Les gens pensent que je suis folle, que je me suis non, que je vais mourir, » dit-elle dans un récent entretien avec le journal Science. « Mais je savais que je me tenais dans mon corps. J’ai misé sur ma propre vie, mais j’ai fait le choix de n’être pas tétanisée. »
Et Beata Halassy a battu les cartes. Elle a subi le traitement et a vu les résultats. Les séries d’études menées sur sa tumeur ont montré une régression importante de la tumeur. Les taux de mortalité ont diminués.
Ses conclusions sont à l’heure actuelle, Beata Halassy est toujours en traitement et continue à suivre ses résultats. Mais son histoire inspire les esprits enthousiastes et les scientifiques, qui voient dans son cas, une vive démonstration du pouvoir de l’esprit humain et de la science.
« Beata a montré que l’humanité peut se rebell et développer son propre traitement de cancer, » dit Dr. Antoine Mouradi, chef de centre de recherche sur le cancer à l’Université de Lyon. « C’est une histoire qui nous inspire et nous encourage à poursuivre nos recherches pour trouver de nouvelles solutions pour guérir les patients. »
Cette histoire inspiring distributed à l’ensemble de la communauté scientifique, a éclairé les feux. Cemandent une grande attention à la méthodologie et aux méthodes de traitement. Mais il est temps de s’ouvrir aux nouvelles méthodes de traitement, comme l’OVT.
« La virothérapie oncolytique est un champ en plein développement qui nécessite des recherches supplémentaires, mais il est temps de se tourner vers le futur, » ajoute Dr. Mouradi.
La histoire de Beata Halassy montre que, même dans le pire des cas, la vie peut être contrôlée, si l’on est prêt à prendre des risques et à lutter pour sa propre vie. Elle est un exemple pour tous ceux qui luttent contre le cancer, qu’ils soient patients ou professionnels de la santé.