La France enlisée dans la crise des "tickets-repas" : une nouvelle bataille entre la grande distribution et les restaurateurs
Une nouvelle journée, une nouvelle boule de crise dans la vie politique française. Le Heard actuel de l’affaire des "tickets-repas" continue de s’alourdir, entre les jugements et les tribulations du pouvoir et les restaurateurs. Et pourtant, les opposants à cette mesure, symbole de l’avantage social préféré des Français, refusent de se laisser impressionner.
Au centre de la tempête, la loi qui devait prolonger la dérogation d’usage des "tickets-resto", cette mesure qui permet aux gens de passer de l’argent liquidé pour les repas dans les restaurants et les fast-food. Depuis octobre 2022, cette dérogation a permis aux Français de trouver un répit pour les transports en commun, les films ou les spectacles. Mais pour les restaurateurs, ce système doit rester confiné aux articles consommables immédiatement, synonyme de perte de rentabilité.
«La persécution, cela doit stopper ! Nous ne pouvons plus subir les pertes économiques» fulmine dans le journal le propriétaire d’un petit restaurant de quartier, Jacques Dupont. Les chants de cloches de contradicteurs n’apaisent pas les mésaventures de la grande distribution. Pour les enseignes comme Carrefour, Auchan ou Lidl, le retour à l’ancien systèmefinanceal, où les "tickets-repas" ne pouvaient être utilisés qu’au sein de les restaurants, représente une nouvelle période de tolérance.
L’avancée sonore du gouvernement alors que le régional Jeanjacob Barnier, en plus d’avoir laissé un vide politique, a provoqué une والadoxes bien plus profondes. La dérogation prolongée de la dérogation d’usage des "tickets-resto" est une pierre d’achoppement entre la grande distribution et les restaurateurs, qui réclament des contrôles immédiats.
En réaction, le groupe des enseignes de supermarchés a lancé un appel, en moins d’un communiqué, pour exiger "attendre que la situation évolue" en attendant que la prolongation de la dérogation soit votée. Mais la communauté des restaurateurs refuse de s’adonner à cette "période de tolérance" et réclament des changements immédiats pour protéger leur avenir économique.
"Nous refusons de laisser nos entreprises péricliter dans l’indifférence" affirment lesặngades restaurantiers, dans un communiqué partagé en une heure virtuelle. Les cours de gauche et les petits députés ont également pris des positions, menant les Ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, face à ses contradicteurs.
La majorité des députés communistes et des représentants du Parti socialiste, ainsi que les députés de La France insoumise, ont voté en faveur de l’abandon de la prolongation de la dérogation. La générosité de ces mesures envers les enseignes de supermarchés a pourtant suscité des critiques dans le camp des oppositionnels.
Leurs présences oubliées à la mise en scène, les employés contradicteurs n’apaisent pas les mésaventures de la grande distribution. "La mesure de l’État est claire, les enseignes supporteraient une perte de 1,5 milliard d’euros si la dérogation est abandonnée", révèle un travailleur au sein de Carrefour.
La situation concernant les "tickets-repas" demeure donc en suspens, attendant une nouvelle articulation de la Chambre haute, inscrite au programme pour le 15 janvier, la date de la session parlementaire. Dans l’attendre, la France en est-elle encore enlisée dans une bataille inépuisable ? La réaction du gouvernement en sera décisive, pour ne pas dire le sort de l’Alsace, et moins encore des Français qui attendent amèrement une solution définitive.