«La Bourse de Paris part en vacances de Noël avec un air de légèreté»
Lundi soir à Paris, le CAC 40 a fermé sur une légère poussée de 0,15%, portant l’indice à 7 282,69 points, malgré une journée marquée par une faiblesse du volume échangé. Ce pic de volatility économique qui se fait ressentir sur les marchés internationaux, en particulier en Europe, est certainement le principal responsable de cette tendance.
La Bourse de Paris a fermé ses portes pour un période d’une semaine et demi, ne reprendra son activité que le 27 décembre, date à laquelle les investisseurs pourront poursuivre à jouer la volatilité toujours plus complexe du marché. Dans l’intervalle, les cours des actions ne seront plus suivis, sauf en cas de nouvelles relative de l’état économique, qui sera en pause pendant cette période.
Lundi, le gouvernement français a enfin dévoilé sa composition, avec désormais Éric Lombard, patron de la Caisse des dépôts et Consignations, aux affaires économiques. Mais cette actualité macroéconomique n’a pas semblé entamer l’appétit des investisseurs, qui se sont contentés de suivre l’indices à un rythme monoton.
Les indices européens ont suivi leur élan, menant les fondamentaux à mettre en garde face à un marché qui se de colore l’universel sentiment de flambée du laissez-passer à la reopening et à l’urgence des politiques économiques étrangères. Les indices américains, en particulier, ont erupté, laissant dans leur sillage les indices de l’ensemble qui les suivent, sans les travestir de petits pas de côté.
Parmi les valeurs BPME France, Renault a fermé au plus haut, avec une violent attente de plus de 2%, en raison de l’union de Honda et Nissan que les constructeurs automobiles japonais yont announcé. Renault détient environ 36% du capital de Nissan, dont l’action a rebondi de plus de 40% en une semaine. Le groupe français a déclaré qu’il examinait toutes les options pour le meilleur intérêt du groupe et de ses parties prenantes.
D’une façon générale, les valeurs en vue sont restées relatively calmes, excepté Atos, qui a perdu plus de 4% et enregistre la plus forte perte de l’indice SBF 120. Cet échec est lié à une année 2024 qui a été terrible pour l’entreprise, qui a perdu environ 96% de sa valeur.
La week-end est venu, la Bourse de Paris est partie en vacances, mais le marché n’y a pas attendu. Le prochain jour de business sera le 27 décembre, lorsque les investisseurs pourront reprendre leurs dépôts et positionner leurs stratégies face à un marché qui se poursuit de composer un puzzle complexe.