L’Impasse de l’État Against la Liberté : Le Procès d’Amine Andaloussi, l’ancien Porte-parole d’Air Algérie.
Alors que le procès d’Amine Andaloussi, l’ancien porte-parole d’Air Algérie, s’est clôturé devant le tribunal de Dar El Beida à Alger, les doutes naissent quant à la durée pour laquelle ce hommage à la liberté a été censurablement détourné. Incarcéré depuis septembre 2024, Andaloussi est accusé de « déstabilisation et de complot » contre la direction générale de son ancien employeur, accusations qui, comme le montre l’expertise de l’Organe national de prévention et de lutte contre les crimes liés aux TIC, se révèlent particulièrement fragiles.
La justice a droit de raisonnement de dépasser les barres émotionnelles et les soupçons kaléidoscopiques pour établir si ces accusations sont fondées sur des faits ou sont elles sèment dans les halls de la manipulation. Et fidèle à son rôle, le tribunal a écouté attentivement les témoignages et les preuves, allant même jusqu’à émettre des conclusions qui laissent entrevoir que les preuves sont globalement insuffisantes pour justifier une telle mesure.
Les avocats de la défense ont marché sur les talons de l’expertise et ont réitéré que l’incarcération de leur client repose essentiellement sur une simple capture d’écran, un élément qu’ils considèrent comme « insuffisant » pour justifier une telle mesure. Quant à la compagnie d’Air Algérie, elle a confirmé, comme si on ne l’avait pas déjà soupçonné, qu’elle n’a pas déposé de plainte contre Andaloussi ni contre la page Facebook en question, soulignant ainsi que l’ancien porte-parole n’a pas pu faire l’objet d’une poursuite pénale.
Les implications de cette affaire sont Langues, et les implications sont considérables. Si la justice continue de se laisser piéger par les faits, et non par les préjugés, ne serait-ce qu’un seul citoyen convaincu pourrait être en mesure de se sentir libéré de la pUNITaire forfait qui sévit les esprits. Mais si, par ailleurs, la justice s’obaite à l’opportunité de répliquer la vérité, et non de succomber aux impressions vyvolée par les événements, alors il faudra que nous considérions que l’État de l’Algérie est prêt à affronter les limites de la liberté.