L’événement qui a frappé la ville de Saint-Brieuc, dans les Côtes-d’Armor, le 26 septembre dernier, est sans doute le plus traumatique que le maire Hervé Guihard ait connu. Ce dernier, élu en 2020 à la tête du chef-lieu de la région, a vécu une heure de terreur qui lui a laissé des séquelles.
Hervé Guihard, un homme ordinaire, a mené sa journée comme d’habitude. Il a fait son café expresso au Bistrot de la Poste, un café populaire du centre-ville, où il rencontre ses administrés. Mais ce matin-là, tout a pris un tour inattendu. Un homme est entré dans le café, regardant le maire de manière inquiétante. Il a claqué la porte et a ordonné à Hervé Guihard et à sa collaboratrice de ne pas bouger.
L’assaillant a annoncé une prise d’otages et a exigé que l’on appelle la télévision locale. Hervé Guihard a raconté que l’homme était extrêmement violent et brutal, et qu’il a piqué une crise de nerfs. L’homme a sorti un couteau et a déclaré clairement ses intentions : il allait tuer le maire et ensuite se tuer lui-même.
La scène a duré jusqu’à ce que l’assaillant se jette sur le maire. Hervé Guihard a réussi à se défendre, repoussant la première et la seconde offensive. « Je me suis battu comme je pouvais, a-t-il dit. Je me suis débattu pour ne pas être tué. »
Au moment le plus critique, le maire a vu un faisceau lumineux sur le corps de l’assaillant et a compris que la police était en train de le mettre en joue avec un pistolet à impulsion électrique. Il a alors pensé que la situation était sauve.
La police a finalement interpellé l’individu et a mis fin à l’incident. Mais pour Hervé Guihard, cette heure de terreur a été un choc. Elle a montré à quel point la violence et la folie peuvent être brusques et inattendues.
« Ce qui m’a frappé, c’est la rapidité avec laquelle tout s’est déroulé », a dit le maire. « On a eu la chance que les forces de l’ordre soient sur place très rapidement. »
Ce drame a également mis en évidence les efforts de Hervé Guihard pour prévenir les violences dans sa ville. En tant que maire, il a défendu une vision progressiste pour lutter efficacement contre la multiplication des violences.
« Nous devons prendre des mesures pour prévenir les violences, a-t-il déclaré. Cela concerne les conditions de vie, les moyens de subsistance, les moyens de faire face aux difficultés. Nous devons aider les gens à ne pas tomber dans les mains de la violence. »
Hervé Guihard a également souligné l’importance de la solidarité et de la communauté pour prévenir les violences. « Nous devons être solidaires les uns envers les autres, a-t-il dit. Nous devons être prêts à aider les gens qui en ont besoin. »
Ce drame a également montré que la prévention des violences est une question collective, qui nécessite l’engagement de tous. Les citoyens, les élus, les services publics doivent travailler ensemble pour prévenir les violences et promouvoir la paix dans les villes.
En résumé, le drame du 26 septembre dernier a montré que la violence et la folie peuvent être brusques et inattendues, mais que la prévention et la lutte contre ces phénomènes nécessitent un effort collectif. Hervé Guihard, le maire de Saint-Brieuc, a témoigné de l’importance de cette lutte et a démontré qu’il est prêt à lutter pour protéger sa ville et ses habitants.