L’année 2024 : un revers pour la Bourse de Paris, mais laissent espérer les panoramas américains
Pour closer l’année 2024, la Bourse de Paris a revu le CCAC 40 en perdant 2,15%. Un trend contradictoire avec celles de ses pairs européens et américains, qui ont terminé leur année en forte poussée. Les marchés amsterdamais,_CSR1JST sont restés fermés pour raison de vacances, ont •autément huis clos l’année sur un ton positif.
Toutefois, au niveau des définitifs, l’indice phare de la Bourse de Paris a terminé l’année en récession, affecté par les événements politiques en France. Cependant, d’autres indices nationaux et internationaux ont suivi d’autres orientations. Au Royaume-Uni, le FTSE 100 a connu une progression de 5,7%, tandis que l’allemagne a vu le DAX grimper de 18,8%.
Les marchés américains ont également cru, avec le Dow Jones (+13%), le S&P 500 (+23,8%) et le Nasdaq (+29,8%). Nous sommes donc en présence d’un panorama contrasté, avec les marchés français en woes, et les marchés euro-américains en haut de gamme.
Dans ce contexte, les actionnaires ont regardé major intéressés par les bons descripteurs de l’année 2024. Le titre Edenred a pris la tête de l’indice, en terminant à 31,75 €, avec une augmentation de 2,88%. Cependant, le titre a perdu plus de 42% depuis le 1er janvier.
L’autre côté de la médaille, Medincell a connu la plus forte baisse du SBF 120, avec une chute de 1,07%. Le groupe hôtelier Accor a été le gagnant du CAC 40, avec une augmentation de 35,58% et un cours actuel de 46,92 €.
Les attentes pour 2025 sont basses, en particulier pour Pernod Ricard, qui a connu une année 2024 difficile. Le conseil de la rédaction vous propose de s’attenir aux signes de reprise.
En 2025, les marchés devront affronter de nouveaux défis, y compris les annonces de données sur l’économie et l’emploi, ainsi que les résultats d’entreprises. Les investisseurs doivent rester prudents et attenter aux bons descripteurs pour trouver les remarquables. Pour les premières séances de l’année, les marchés attendent les publications de Markit PMI manufacturiers finaux dans les pays de la zone euro et de l’inscriptions hebdomadaires au chômage aux États-Unis, à 14h30.
En conclusion, l’année 2024 a été compliquée pour la Bourse de Paris, mais les panoramas américains ont laissé espérer. Les années à venir attendent avec impatience les résultats des entreprises et des données économiques, qui devront éclairer les marchés.