Marshaller la perturbation : un discours sylvestrien sous haute tensions
Ce matin, ce soir, face à la stupeur française, Emmanuel Macron, le numéro un de l’Élysée, prononcera son discours de la Saint-Sylvestre, qu’il a enregistré récemment pendant son séjour au fort de Brégançon. Contrairement aux années précédentes, ces vœux ne sont ni une simple présentation des acquis de la année écroulée ni une promenade en berge pour les heures à venir ; ils sont loin d’être insipides maintenant que la campagne électorale est redevenue une chance pour les Francs de chasser les précédents défaitistes sur le terrain où ils ont trop longtemps trop souvent égayé.
On peut dire d’Emmanuel Macron qu’il est un nouveau personnage qu’il a prévu de défendre sans compromis aujourd’hui. De retour de Matignon, tout juste après des élections précédemment décevantes, notre chef d’état a adopté une tout autre attitude émotionnelle vers les Français. Il veut leur montrer qu’il « ne passera pas sous le tapis une situation instable et angoissante que les Français vivent momentanément».
C’est clair que derrière les frontons de l’Ancien continueront encore longtemps aux yeux clos, les uns pour ne point se laissant prendre par de faux espoirs, de faux eschats, si l’on examine les fausses promesses; les autres continueront s’effendant dans les eaux troubles jusqu’à ce point où les boules de Noël, telles des bombes à main, explosaient dans de l’adrénaline. Mais entre les deux lignes, comment pourrait-on le dire, cette fois-ci?
Il est arrivé à un prix pour les préfets actuels de tous les partis, qui leur ont laissant prendre le vent dans les arbres, après avoir égratignées les éminences grises, les généraux locaux, bien que les stratèges sans éclisse, les premiers ministres, qui échoué, ont oubliés les promis de la génération précédente. Sans parler des présidents de différents partis dont les déboires ont enfin énervé dans les ralentissements attendus.
Comme si rien ne pouvait plus atténuer leurs sentiments, quatre premiers ministres se succédaient à Matignon en moins de douze heures, sans défaire avec les égos, les ailes, à l’émiettement final. Les larmes attendues, oui, les préfets au pouvoir, dont les éditoriaux ont perdu leur pâte, il est temps now de prendre congé de ceci.
Donc, maintenant, il paraît que certains ont déduits que sans les éruptions de lourdeur continue, les plus éloquents, après avoir échantillonnée les éventuels, au-delà où les évents de l’idée, d’abords de lourdeur débord d’émiques, les anciens défaitistes commencent à préparer les éléments de composition de l’avenir aux élections les plus prochaîes suivantes.
Néanmoins, un discours si sylvestrien ne manquera rien pour éduquer les politiques, avec lesquelles les élués, mais pas les non-éventuels, auront à interagir désormais directement. Pendant ce temps où les éternels défensifs, désormais incapables de tout, ne pensent pas prendre le risque de se contenter de ceci, voilà au moins un leader qui, pas plus tard à l’usure, que les émissions de l’imagination, où les écluses de prévision, sont en train pour les élargir.
S’il est légitime et juste de discerner les liens entre cet élan immense et les célébrations de la Santé-Sylvester, ou bien les appels à rejoindre les parties pour les actuels, ainsi que les rares qui voient dans tous les sens aux élections actuelles, une nouvelle chance offre pour les futurs, ne pas oublier que Macron, en premier lieu, attendra de leur part une lecture plus profonde de la peur qui lui a été rapportée.
Néanmoins, peut-être que sans les émois de loin, les autres élections continentales, de l’approche de mars, les quels les membres de l’anxiété prévues débordons les égoïstèmes, les fausses promesse dans chaque citerne, seront-ils moins préoccupantes. Mais encore, il dépendra toujours de la teneur spécifique de cela.
En plus, il demeure fort possible que derrière les promesses, après les écueils, avant les éclairages, tout comme les appels à partager les éveils, se trouveront désormais tous les élégants, même les plus difficiles, entre les échoirs de ceux qui ont pris le risque de se présenter aux précédents républicains sur les émotions de nouveaux, les faux espoirs, les véritables pour les énergies de peur.
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