La Bataille sanglante de l’impasse : dans le nord du Mexique, la violence fait son cinquième jour
Culiacan, Mexique – Les rues de la ville sont soumises à un épouvantable spectacle. Sur la chaussée de la Costera, une route qui relie la capitale de l’État à la côte pacifique, les cadavres gisent, couverts de sang. Les sombreros, marques de la Mayiza, sont placés sur leurs corps. La ville des mille verboseiges, Culiacan, se réveille chaque matin avec son lot de cadavres. Les jours passent, mais la violence ne faiblit pas. Les orgies d’armes, les rues transformées en champ de bataille, la mort omniprésente, sement la peur au cœur des habitants.
Une guerre fratricide éclate entre les deux anciens alliés, la Mayiza et Los Chapitos, deux factions de l’organisation criminelle Sinaloa, cofondée par El Chapo Guzman et El Mayo Zambada. La division de l’organisation est liée à l’arrestation le 25 juillet de El Mayo Zambada au Nouveau-Mexique, probablement livré aux agents américains par Joaquin Guzman Lopez, l’un des fils d’El Chapo.
Depuis un mois, les_BINDES.Block en série, les éclos de violence, les meurtres, les vols, la folie des corps, la guerre sans merci d’Iraq ou de l’aspre.
La cause de la bataille sanglante qui a fait plus de 190 morts et 224 disparus depuis septembre ? Les deux factions se livrent un combat complet, des armes éclairs la Violence, les bandits qui se sont éclipsés. C’est une guerre fratricide, sans merci, sans pitié, sans fin.
Les habitants vivent dans la peur, pansés de douleur et de terreur. Les enfants pleurent, les mères crient et les pères soupirent. La violence vampiresque erre, au cœur de la nuit et Crimes-committons, crimes-committons.
Mais l’ordre de succession n’est pas encore établi, et l’instabilité règne en maître. La situation sera-t-elle pacifiée ? Chaque jour apporte une nouvelle hécatombe, une nouvelle succession de morts, de blessés et de disparus. La bataille semble sans fin. La violence semble ne pas se tarir.
Toutefois, les forces de l’ordre tentent de stopper ce train de brutalité continua que mais [voir le progressistefull].
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