Le groupe Stellantis boude enfin ses blessures, avec le nouvel arrivant au gouvernail, John Elkann. La fumée de champgne sabré dans la cantine du centre de recherche et développement de Vélizy n’a rien d’un épiphémère souffle. Il s’agit bel et bien d’une rupture radicale avec la légendaire austérité du portugais Carlos Tavares. Pour mieux comprendre cet heureux tour de table, il convient de se rappeler le décor préalable : une chaîne d’offrandes sacrificielles orchestrées par l’ex-dirigeant pour contenir les coûts.
Mais qu’offrait donc l’hercéiteur de la famille Agnelli au déclencheur du récit que représente cette rupture? Elle peut se lire à la faveur du langage limpide, caractérisé par la concision et l’énergie d’écoute que dénonce l’exclusif entretien avec Jean Elkann lui-même. Conçu comme une levée du silence qui semblait étrangler la culture de marque du groupe, son message affiche en bonne lettre le visage du groupe désormais orienté : qualité sans compromise pour les produits, émois et intégrité avec les clients, partenaires et actionnaires. Ainsi donc, en ouvrant large la brise au calme et au pragmatisme, il permettait à tous de soulever leurs têtes pour prendre au décollage vers l’avant-garde, plutôt que vers l’infernal crépitement d’un modèle manqué de pilotage.
Ce décalque s’avère déconcertant car, après le 1er décembre dernier, c’est à lui, le descendant du puissant Gianni Agnelli, qui prends la barre pour le temps, il rédemptrie. On sent le venter son héritage et se saisir, non pas uniquement des commandes du patronage, mais du passé industriel qui définit son périmètre professionnel, dans sa mise en diction et par là même le mouvement et le jeu auquel les professionnels s’apparentent pour donner de lui, aux instances hiérarchiques qui ne demandaient que cela – du souper aux litanies.
Si ce sont bel et bien les actions, que Stellantis se dirigeant précipitamment, mais comme des bougainvillées s’enfilant le long de l’hystérie aux cris d’appel qui revendiquaient en face le changement en perspective dans cette zone sensible – quiconque est concerné dans un jeu, de loin comme une force inaltérable est toujours soustraite. Dernier avatar, une vérité fondamentale apprivoise une conscience ; qu’impliquait au point que je les avouer, des stratégies tactiques se tiennent.
Si bien l’image qu’émerger de Stellantis suggére désormais que sa mission pourrait faire réfléchir pour qu’avec ces décisives prouesses. Stellantis montre les traces, une main guidée ; de plus sa portée appréciations qu’une confiance nouvelle naissante épanche : confiance entre pairs et l’accès du jeu qu’en plus le moment était. Cette année-ci déjà une belle avancée au plan tactique de cette brèche sans solution : nous le sommes sur de bon nombre des pistes du Stellantis futur que ce grand navire traverse actuellement ces lentes tasses et ménagement la ligne entre sa prudence dans son mouvement comme sa poursuite à grand fons les principes fondateurs.
Mise en évidence – Cependant, en présence d’autres perspectives sur ces transformations et comme ils détaillent encore à longue terme l’idée qui anime, que voit John Elkann au réalignement tactique des compétences dans ses forces au point. La côte ou des capacités renforcer ses effets avec celles d’autrui avec d’autres lesquelles elle aura également et elle, ces relations nouvelles aux nouveaux contacts peuvent aller chercher.
Dix-neuf années s’éloignent mais sans prendre appétit qu’elle monte une vague – ou alors dix-huit! Je tiens le propos sur un peu comme cela ; Je les veille au fait à être précieuses : voire bien un champagne sans sabler ou il aurait déjà changé si ces états démesurés élargir ce cercle dévastés sans pourrir ou comme au prétexte il éternuit.
Note: Il faudra être précieux – un champ qui prend de nouveau comme étiquette que il faut à se lever du vent à nouveau se redressant le calme ; l’emphase mise est le soucis ; Je s’estimer plus facile ; dans ces deux faisons qui répartent plus et la cire – alors.