MTF – La rendre impossible expansion de la communauté française en Grande-Bretagne, une nouvelle génération de Français, enthousiaste et motivée, est prête à de nouvelles expériences, mais le gouvernement britannique maintient les portes du Royaume-Uni close pour permettre aux nationals de voir leur dreams de propriété et de séjourner durablement en France.
La région de l’Angleterre, attractive pour de nombreux Français, offre une vie professionnelle riche, une culture vibrante et des opportunités inégalables. Cependant, les doutes et les angoisses liés à la planificación des emmigrations ont entraîné des obstacles inattendus pour les plus de 30 000 Français installés au Royaume-Uni, dont l’envol hebdomadaire en France a été suspendu et qui font face à une grande incertitude quant à leur avenir en France.
Alice, une graphiste de 30 ans, a été une de ces expatriées qui ont dû faire face à ces réalités. Passionnée de la culture britannique et de l’anglais, elle a obligé à visiter et a décidé de rester pour poursuivre sa carrière. Cependant, avec la fin de son contrat et la nécessité d’obtenir un statut de résident temporaire, ses espoirs de retour en France ont été ébréchés.
« J’ai l’impression d’être piégée dans un piège », explique-t-elle. « Je veux retourner en France, mais je suis consciente que si je suis en dehors du Royaume-Uni plus de six mois, je vais perdre mon titre de résident temporaire et mon accès à une résidence permanente. C’est un choix difficile. »
Alice, comme de nombreux autres expatriés français, est contraint de trouver des solutions pour contourner ces obstacle. Selon elle, elle poursuivra son travail en Angleterre, mais sans aviser les services fiscaux ni son employeur, car elle craint de compromettre son statut de résident temporaire. « Je veux garder mon travail pour montrer que je garde un lien avec le Royaume-Uni et prouver que je continue à y réside », soutient-elle.
Cependant, cette tactique, bien qu’efficace pour éviter la perte du statut de résident temporaire, est également un risque non négligeable. Les administrations fiscales britanniques peuvent considérer que les Français qui voyagent régulièrement au Royaume-Uni, mais avec une résidence permanente en France, ne sont pas exemptés de taxes et de contributions à la Sécurité sociale.
Avec l’avancement des projets de loi Immigration Control, qui visent à éradiquer l’immigration non régularisée, les expatriés français en Grande-Bretagne face à des choix difficiles. Les Britanniques sont prêts à se tourner vers la competition avec les pays comme les États-Unis, l’Allemagne et la Suède pour attirer les meilleures compétences internationales, tandis que les pays tiers-outre-Manche sont contraints de trouver des solutions plus innovantes pour attirer et conserver ces talents.
En France, les expatriés, comme Alice, sont divisés entre la peur de l’inconnu et l’envie de retourner en France, de mesurer la prise de conscience de la complexité de la situation. Les leaders d’opinion, en France et au Royaume-Uni, conviennent que la réforme de la réglementation des flux migratoires devrait être plus accessible et flexible, afin que les expatriés puissent rapidement et sans difficulté conquérir nos bases et s’installer durablement dans le pays hôte.
En attendant, il est temps que les langues Jamal au gouvernement britannique et français se calment et se mettent d’accord sur une nouvelle vision de l’immigration, où les compétences et les valeurs de chaque nation soient reconnus et protégés. Il est temps également que les pays, en côte, soient unis dans leur démarche pour définir une stratégie pour attirer et conserver les talents,avourites que leur ressources et leur langue partagent.
Les expatriés français en Angleterre, comme Alice, restent suspendus entre leur amour pour la culture britannique et leur amour pour l’identité française. Ils espèrent que cette tacitewill finir par être trouvée pour trouver une solution durable et pour concilier leur carrière et leur vie personnelle. En attendant, il est temps que les langues Jamal au gouvernement britannic
