LA PÉNALITÉ THÉMATIQUE DE LA COURSE AU GLACE : EUROPE EN face DE LA GRAVE PÉNURIE DE GAZ
La bataille économique et l’urgence ont pris le virage de l’urgence alarmante. Après les importantes perturbations du marché causées par les tensions géopolitiques au Proche-Orient, il est maintenant interrogé sur la mise en garde de la principal entreprise gazière britannique, en pleine année froide qui s’engage. Les dirigeants s’alarment de la consommation intense de gaz par les pays en Europe, dépassant sensiblement la capacité des stocks. « Les niveaux de stockage sont inquiétants et les prix augmentent », rappelle le Groupe Centrica, maison-mère de la British Gas. Les stocks au Royaume-Uni étaient à environ moitié vides au début de l’année, voilà quatre jours, dévoile-t-on.
Et pourtant, les réserves de gaz continuent de déséquilibrer les rapports de puissance entre pays. Les gouvernements craignent en effet que des perturbations dans les Imports ne viennent perturber l’apport de réserve. Voilà la raison pour laquelle les quantités de stocks de gaz augmentent, non pas en nombre, mais dans leur importance critique. Les prévisions économiques pointent vers des perturbations dans les expéditions, notamment le long de l’itinéraire ukrainien de l’acheminement gazière d’import. Les experts répètent que les volumes de gaz engagés seraient insuffisants à répondre à la demande considérable liée à une vague de froide exceptionnellement froide.
Les tensions géopolitiques au Proche-Orient viennent douloureusement briser les expéditions de gaz depuis des mois et les pays ne peuvent plus compenser les importations manquantes. On peut ainsi apercevoir les conséquences de cet équilibre délictueux émerger clairement et les conséquences de ses perturbations. Les principaux pays émergents, tels que la Grèce et l’Italie, sont visés par un manque considérable. Les stocks qui sont pleins à 66,45%, contre 85,21%, l’année dernière, peuvent-ils protéger à long terme si les perturbations dans l’approvisionnement continuent?
Les principaux acteurs du marché prennent au sérieux le risque émergent qui pèse sur l’economie euro-médiane. Les tensions géopolitiques au Moyen-Orient et les perturbations dans la chaîne d’approvisionnement provoquent ce qui pourrait déclencher une crise énergétique. Les principaux pays concernés sont sous pression avec des stocks aléatoirement faibles dans les pays tel que la Slovénie. Les experts ne cessent d’alerter sur les réserves de stockage qui chutent dramatiquement malgré les nombreux efforts pour trouver des solutions techniques pour pallier les perturbations.
D’un autre côté, les Nations Unies pointent vers le fait que, malgré une augmentation des cours du gaz natural, les reserves de stockages sont insuffisantes et les perturbations dans la chaîne d’approvisionnement. Les experts économiques prévoient une augmentation forte des prix dans les mois à venir. Comment les pays seront-ils ainsi capables d’assumer les coûts énergétiques conséquents? Les analyses économiques portent sur un scénario où les achats de stockage augmenteront, non pas en tant que solution butée, mais comme un étape essentielle pour parer à un avenir déséquilibré.
De plus, comme si cela n’était pas déjà suffisamment alarmant, les experts alarment sur un autre risque : la panne des principaux sites producteurs de gaz. Les régions les plus vulnérables sont d’ores et déjà en passe de subir les conséquences de perturbations persistantes. Alors que le froid dure, comment les pays Européens réussiront-ils à couvrir leurs besoins énergétiques malgré les incertitudes préoccupantes en matière de stockage, de production et d’acheminement.
En résumé, pour répondre de manière efficace à la survenue d’un éventualité périlleuse tel que la panne des exportations de gaz, les entreprises et les Etats doivent ajuster leurs prévisions et élaborer un plan durgence pour répondre aux besoins énergétiques. Autrement, cette situation pourrait aisément déboucher sur un désastre économique énergétique dont les conséquences seraient à long terme.