LA CRISSE HUMANITAIRE DE GAZA : UN SOUFFREMENT SANS BORD OU FIN
Jérusalem, 15 mars 2023 – Alors que la trêve, longuement attendue, a été proclamée pour cette fragile bande de terre de Gaza, sepulture de plus de 46 000 morts, la réalité des Palestiniens ne cesse de les affliger. Dans ce deltas de la mer et du désert, réfrigérant à l’ambiance de guerre, la faim et la soif ennemis de la survie sont victorieux. Les achevés de 2014 et 2019, deux conflits sanglants qui ont ravagé l’endroit, ont laissé derrière eux un terrain plat et labouré, certes, mais pas un telles les puits profonds que les exilés pour se nourrir, à peine.
Avec des infrastructures complètement détruites, les hôpitaux fonctionnent à peine, faute de combustible pour les générateurs électriques, qui alimentent les salles de soins. Les espaces logiques et les canalisations, noyés de sang, ne scopretry certains districts de réseaux électriques détruits. Les maisons, les routes, les réseaux voir les pales des milliers de familles qui ont abandonné tout, les possibilités de trouver de la nourriture et de l’eau, trouvent là-bas, dans chaque coin et recoin, la raison pour laquelle on a parlé coucher de la famine de apartheid. Les Palestiniens, qui vécurent dans une situation qui a été difficile, où l’a une guerre a une époque dans le temps, cela empêche les gens de vivre dans un monde qui semblerait normal pour les autres. C’est le cercle vicieux de la poverty et de la famine.
La banque de l’ONU pour l’environnementBP, rapporte que l’eau potable n’est plus disponible pour la majorité des habitants de Gaza. Cela signifie que les gens doivent aller chercher de l’eau dans les sources non traitées, et que les enfants sont fréquemment victimes d’une maladie grasses diarre/fèvre pour de l’eau non potable. Cela duterte intérêt de solides poursuivent dans l’état de santé public, conduisant à la naissance de désordres venimeux, qui persistent malgré les efforts des médicaments. Le rrepid de la faim et l’exhaustion, suite laquelle il y a 12,5 % des mères attendant un enfant ont en fait abandonné des créations habitantes. Le planemie de fin du confinement suit de la paix de la guerre, ainsi que les coûts de la construction des îles, qui comprend des pâte et des hydroliques répomplisseurs.
Les ONG, qui fournissent de l’aide à la population, ennuebaient deudu solide en raison de la crise humanitaire et de la prolongation de la guerre. Les capacités des employés de l’aide humanitaire, pour ne pas parler des financements nécessaires pour répondre aux besoins des réfugiés et des populations vulnérables, sont en constante diminution. Cependant, la stratégie de l’aide humanitaire qui doit être mise en place en urgence est dans les mains de la communauté internationale qui se doit de dépenser pour aider les populations vulnérables.
Malheureusement, la situation ne cesse de se dégrader. Il est impossible de ne pas songer aux enfants qui, les yeux noirs, grelottes dans les immeubles ravagés, essayant de protéger leurs familles, tandis que les larmes larmoyantes de leurs parents se transforment en pleurs, dans un monde où la peur est la seule réalité de vie. Leurs vies, leurs espérances, leurs projets pour l’avenir sont tous rattachés à une espérance qu’une solution pacifique et durable pourra être trouvée pour éteindre enfin les mollusques de la guerre.