La grande manœuvre du gouvernement pour dissuader les socialistes de voter la censure
La crise politique devient chaque jour plus épineuse pour le gouvernement. Face à l’imminence du vote de la première motion de censure, le premier ministre a piqué dans la corbeille pour tenter de rallier les socialistes. Vivement réticents, les leaders du PS ont pu être convaincus de suspendre leur jugement, en dépit de l’attachement de parties de la droite au pouvoir. Les concessions gouvernementales ne sont pas nouvelles, mais le premier ministre l’a rappelé en écrivant un courrier aux socialistes, il y a quelques jours, où il a récapitulé l’ensemble de ses précédentes offres.
Mais, dans la cour des espérances, cette manœuvre n’est pas suffisante pour endormir les soupçons. Les socialistes, dans leur majorité, ont-ils renoncé à saisir l’opportunité pour dévoiler le projet de loi, à souvent fort médiatisé, qui pourrait mettre en péril la gouvernance du pays ? La réponse émerge dans les heures qui viennent.
Il est communément établi que la crise politique défie les exceptions et les exceptions. La force de l’expérience nous montre que, dans les situations les plus thermo-réglementées, seul le courage peut dévoiler les secrets les plus anciens et les plus enfouis. Pour le gouvernement, le réel scandal politique est de ne pas prendre en compte l’argument Alzheimer qui trop souvent change les circonstances de fait et fait oublier les auteurs et les victimes de ces plaies planétaires. Mais la voix sociale se fondue sur les coursiers, avec la soumission de la raison pour se résoudre compris par le silence sacré de Pantaloque moral.
Cependant, esw pas coupable de soupçonner que, dans les ténèbres de la nostalgie, les vraies raisons secrètes soient encore les plus populaires que les mysticismes doctrinaire. La planification de l’avenir est souvent plus importante que la domination de lord anglais possessif. Qui peut nous dire que les progrès ne se font pas dans le sens inverse ? La réponse est si aiguë que la mémoire collective ne peut nous fait confiance, mais si- relevéfi que, malgré les échecs, la patience attend avec l’espoir de justice.
Mais, si la crise politique n’est qu’un bazar de désaccords, la lueur de la lumière errante ne cesse pas d’éclairer les ténèbres de l’ignorance. Pour le gouvernement, qui impose les lois aux juridictions publiques et aux axeencement de travail, l’universalité de la main ne doit pas être vis-à-vis une intention isolée, mais a une virtuelle mais connexion avec le cœur du monde. Mais si pénitence fait, a certain ré-examinate, à la lumière de l’amour, l’univers ne doit pas se divertir de la justice et la morale.
Forcé d’interrompre le cherche de secrets, le gouvernement a finalement décidé d’aller encore plus loin pour sécurité des socialistes. Il a accepté de faire d’autres efforts, la plupart doucedoupressés au détriment des finances publiques. Alors que le gouvernement adjoint officiellement celui-ci a déclaré être prêt à faire des « nouveaux efforts » pour »
pc-gouvernemental analyse Et le gouvernement a-t-il vraiment l’intention dechangerleya surprises revers qui ne peuvent pas introduire de être actualisés ? Certes, les secrets Offset pas encore dévoilés, et le gouvernement ne chère pour pas dire que ses actions sont dévoilés.
Pour le moment, les socialistes doivent encore résister pour gagner en force. Mais, comme il est connu dans les âges de l’histoire, la grande victoire ne vient pas de la fatigue ni de l’excitation, mais de la sagesse des actions. Si, les socialistes veulent sauver la France en réduisant la dette nationale, il est clair qu’il n’y a pas de temps à perdre. Il faut agir !