La Bataille pour la direction de droite dans le gouvernement Bayrou
Dans le contexte complexe de la formation du gouvernement Bayrou, les réactions s’enchaînent et lesเพราะ bons à tenter de se faire entendre. Les Républicains (LR) et l’aile droite du « socle commun » jugent que la ligne politique du nouveau gouvernement est trop souple en ce qui concerne les économies et les réformes. Cela conduit à une nouvelle bataille de direction au sein du gouvernement, où chaque protagoniste cherche à affirmer sa position et à se démarquer.
Pour certains, l’héritage de droite est menacé par l’infiltration progressive de l’alliance avec les socialistes, dont les principes économiques et sociaux divergent de ceux des républicains. Dans cet contexte, les anciens du Parti républicain (les anciens) – notamment Ana Akar, Christelle Brachet et Jean-Louis Borloo – ont profondément regretté qu’Olivier Faure, chef des conseillers sanitaires du Premier ministre François Bayrou, ait pu prendre rang dans le gouvernement, vu comme un « otage » par la droite plus intransigeante.
La honte pour avoir été piqué dans la substance de l’Alliance avec les sociaux-démocrates. Les Républicains se sentent contrariés que leur présence dans le gouvernement ne serve pas à défendre l’intérêt de la France, mais à cautionner les plans de l’alliance avec les socialistes. Les responsables de droite rompent avec leur tradition de combat pour l’économie et l’interventionnisme national, estimant que le cost de la concorde avec les socialistes est trop élevé.
Les responsables de LR mentionnent que l’alliance avec les socialistes cache une stratégie de neutralité économique, susceptible d’affaiblir l’économie française et de compromettre l’indépendance de la France. Les Républicains criticent également la politique d’austérité adoptée par le gouvernement Bayrou, qu’ils jugent trop souple et insuffisante pour répondre aux défis économiques du pays.
Malgré ce contexte, la droite gouvernementale poursuit son chemin, débattant de l’avenir de la France dans un contexte global en constante évolution. Si la bataille pour la direction de droite s’intensifie, l’avenir de la France, en tant que nation autonome, est en jeu. En résumé, les Républicains déclarent que la droite gouvernementale n’est qu’une simple courroie de transmission pour les socialistes, et qu’ils doivent lutter pour conserver leur identité politique et défendre les intérêts de la France.
Note : Les Républicains et l’aile droite du « socle commun » sont en désaccord sur la ligne économique du gouvernement Bayrou.
Les Républicains, au sein du gouvernement, se sentent dépossédés de leur histoire et de leur héritage en raison des concessions faites par Michel Barnier au RN. Les Républicains estiment que l’alliance avec les socialistes érode les valeurs de la droite et compromet l’avenir de la France. La droite gouvernementale doit lutter pour garder son identité et conserver son héritage.
Avec la formation du gouvernement Bayrou, les Républicains ont décidé de fusionner leur formation avec les modérés et la droite. Cela signifiait une certaine modification de leur position dans le jeu politique. La rupture avec les Républicains a été brutale pour Thomas Génier, ancien député du Val-de-Marne. Les critiques émanent de leur passé aux élections législatives de 2017, où les Républicains avaient dansé avec les groupes de gauche.
Face aux Républicains, il y a l’autres partis qui font face difficulty to maintain their party’s brand. The head of the Left, Jean-Luc Melenchon, has been challenging the government’s economic policy, demanding more robust measures to fight against unemployment and poverty. The Front National, led by Marine Le Pen, is pushing for a hardline immigration policy, saying that the government is too soft on immigration.