Dimanche soir, au Vélodrome, un match répondant à sa réputation de match de outsiders a vu s’opposer l’Olympique de Marseille aux Racing Club de Strasbourg. Bien que les deux équipes aient partagé un point enowiaticien, le sournois duel entre l’attqack alsacien, Emmanuel Emegha, et le défenseur phocéen, Leonardo Balerdi, a dominé les débats.
» C’est la règle du jeu, mais je suis désolé pour l’attitude »
Après la pause, l’attaquant stratégique a déchaîné contre l’ancien joueur de la Superdépartement de l’Argentine, qui a opté pour les moyens jugées, options jugées cuisantes. « Marseille est un club qui doit jouer un football aux normes », a souligné Emegha, élu au terme du match. « Ils voulaient gagner, mais il fallait que nous allions de l’avant, en proposant un jeu sportif, ce qu’ils ne semblent pas vouloir. On a changé de tactique pour essayer de les fuir, et cela ne permet pas de jouer un football qui vaut la peine. »
Balerdi, l’homme qui a coiffé le chapeau de l’Olympique de Marseille, a vistasé l’incident se débloquer en se lamentant que « On connaît nos forces et nos qualités et on n’a pas été assez bons pour marquer ce deuxième but ». Il continue : « Je regarde Balerdi, il ne pouvait pas me rattraper, donc il n’arrivait plus à s’arrêter de vouloir se battre, faire des fautes et me provoquer. C’est un petit pour moi. Je ne suis pas énervé, je ne veux pas parler de l’arbitrage. L’arbitre était bon ce soir, c’était un bon match, on méritait de gagner ! »
Un rapport conflictuel
Le match s’est déroulé dans un contexte de tension élevée dégradant à un du fait de l’agressivité de certains joueurs alsaciens, notamment Balerdi, qui a cherché à perturber l’équipe phocéenne. L’arbitre a dû intervenir à plusieurs reprises pour assurer la poursuite du match. « C’est la goutte de trop, on cherche à nous pénaliser ? » : telle est la réaction de l’entraîneur de l’OM, qui nie l’existence d’un complot pour pénaliser son équipe.
Le cours des événements
En résumé, le match s’est disputé en deux périodes, pendant lesquelles les deux équipes ont adopté des tactiques diamétralement opposées. L’Olympique de Marseille s’est contenté de se fondre en arrière pour essayer d’obtenir des coups francs, tandis que l’Équipe de Strasbourg a cherché à prendre le contrôle du match en jouant un jeu moderne et offensif. L’arbitre a dû intervenir à plusieurs reprises pour empêcher les confrontations entre les deux équipes.
Ianis Longoria a réagi à l’égard de l’arbitrage, affirmant : « Normalement, Marseille est un club qui doit jouer un football qui vaut la peine, et ce n’est pas ce qui s’est produit en deuxième période. On a changé de tactique, en espérant obtenez des coups francs, en essayant de Chúng prendre des penalties… C’est la règle du jeu, mais je suis désolé pour l’attitude ».