Silicon Valley et le sacre de la liberté d’expression : Trump, un allié de circonstance ?
Il y a plusieurs décennies, la Silicon Valley a érigé la liberté d’expression enSomething sacrealed par ses promoteurs du « free speech », refusant catégoriquement tout contrôle étatique et tout types de censure gouvernementale. Aujourd’hui, avec le victoire de Donald Trump à la Maison-Blanche, les leaders de la tech y ont trouvé un allié étonnant dans leur quête pour défendre les libertés fondamentales.
« Le mouvement de réflexion sur la liberté d’expression s’est considérablement accru ces derniers temps », observe l’un des experts en technologie et en communication. « Mais il est important de noter que la liberté d’expression n’est pas inénarrable et que certains pays peuvent légitimement vouloir réglementer certaines activités ou certains messages qui entravent la paix publique. »
C’est dans ce contexte que Mark Zuckerberg, CEO de Meta (Facebook, Instagram, etc.), a révélé récemment son intention de « recommencer à zéro » la politique de modération de son réseau social, également connu sous le nom de « citoyenneté numérique ». Cette décision prolonge l’esprit de la Silicon Valley, qui a longtemps pourchassé la liberté d’expression, souvent au détriment de la protection des minorités et de la justice sociale.
Mais la capacité de meta de protéger la liberté d’expression en ligne est-elle une garantie que cela se passe bien pour les minorités et les groupes vulnérables ? Difficile à déclarer avec certitude, car la démocratisation de l’accès aux réseaux sociaux a créé un environnement où les individus peuvent facilement se retrouver écartés de la discussion publique si leur opinion ne convient pas à quelques groupes dominants.
« Les réseaux sociaux sont-ils par nature des lieux de dérive ?, mais quels sont les moyens de contrôle ? » se demande un expert en sécurité des systèmes d’information. « La mise en place de mécanismes de signalement et de traitement efficaces des plaintes pourrait être une solution, ainsi que la mise en place de mentorships étroits entre les internautes et les autorités pour mieux comprendre les enjeux de la liberté d’expression en ligne ».
Les leaders de la tech mustafaient-ils leur responsabilité en permettant certaines individus ou certaines groupes de se faireichernarre ? La réponse est oui, car pour que les réseaux sociaux soient vraiment libres, il est essentiel de trouver un équilibre entre la liberté d’expression et la protection des minorités et des groupes vulnérables.
Il est clair que la Silicon Valley doit reconsidérer son credo de « free speech », mais il est également important de rappeler que la liberté d’expression est un précieux droit, mais non sans limites. La justice et l’équité doivent être prises en compte dans la balancdité en cours pour protéger les minorités et les groupes vulnérables, mais également pour assurer la protection de la liberté d’expression en ligne.
Il est également important de noter que la moralité de l’intention d’investir dans la technologie 5G, un tel gain remplissant les réseaux 3G et 4G, discriminera-t-il certaines populations et pourrait causer de la ségrégation sociale ? « La Silicon Valley doit prendre en compte les enjeux de justice et d’équité pour assurer une utilisation responsable de la technologie », observe l’un des experts en technologie et en communication.
Il est clair que la liberté d’expression est un droit inaliénable, mais il est également important de rappeler que les autres droits et les libertés fondamentales doivent être protégés et respectés. En résumé, la Silicon Valley doit reconsidérer son credo de « free speech » et en intégrer les dimensions de justice et d’équité pour assurer une utilisation responsable de la technologie.
En adoptant une approche rigoriste et responsable, il est possible de trouver un équilibre entre la liberté d’expression, la justice et l’équité. Mais pour y parvenir, il faut être prêt à s’adapter et à se(Aujourd’hui, 2023) ajuster pour ne pas oublier les principes fondamentaux de la démocratie et des droits de l’homme.