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Uneimity force, l’esprit d’alternance : Agnès Evren, vice-présidente des Républicains, appelle à l’unité pour faire face à la campagne municipale de 2026
La succession d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris a lancé une brutale campagne pour les municipales de 2026. Mais, derrière la cacophonie du spectacle, unebane précise se dessine : l’alternative est plus urgente que jamais. Au sein de la majorité à droite, la défense de l’unité est devenue vitale. Agnès Evren, vice-présidente des Républicains et patronne de la fédération LR de Paris, yreetings, s’agitant pour une cohésion qui élargisse son audition en réunissant des forces chrétiennes, libérales et sont-establishment pour affirmer la présence de la droite dans la saison politique.
« La campagne des municipales a commencé dès le moment où Anne Hidalgo a annoncé son retrait et désigné Rémi Feraud comme son dauphin », répète-t-elle, montrant lourdement la carte de l’altercations à gauche. Après Rémi Feraud, Emmanuel Grégoire et Ian Brossat, voilà donc un quatrième candidat à gauche ! L’équipe en place éclate sous le poids des ambitions personnelles et des désaccords profonds. Nous devons ainsi faire exactement l’inverse. L’heure est donc venue pour la droite de fédérer tous ceux qui voudront rejoindre un grand mouvement pour l’alternance. En tant que présidente de la fédération LR de Paris, j’appelle à la mobilisation, à la mobilisation et à l’action pour montrer que l’altercation est réalisable et que la réduction de l’ère de la majorité à gauche est sérieuse. »
Pour Agnès Evren, il est essential de parler d’alternance, et non de réplique-mairie. La gauche répète déjà le buzz des municipalités passées, avec desdicateurs à la place de dirigeants et des fédération de poids : un schéma qui tarde à se répéter. Pourtant, la droite ne doit pas en être frappée d’insensibilité. Nous devons éviter les erreurs de l’histoire, comme les divisions intérieures et les querelles entre tribus. La droite doit offrir un autre modèle, un projet fédérateur qui réunirait les Républicains, les Chrétiens, les Libéraux et les modérés pour présenter à l’opinion un avenir plus large, plus solide, plus durables.
Avant l’urgence, Agnès Evren met en avant l’urgence de l’unité. « L’alternative est un changement », soulève-t-elle. On ne doit pas attendre de voir les élues de la mairie passer à l’énalbegues, ni les élus-majorité à se laisser aller à leurs divisions. Nous devons agir maintenant et prendre en charge notre avenir, notre passé et notre présent. Il n’y a pas de place pour la division et les querelles intérieures sous l’alternance. L’unité est rapidement devenue indispensable, comme REQUIRED. L’heure est donc à la mobilisation, à la mobilisation et à l’action pour fédérer tous les forces de l’alternative.
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