La décette pour Tesla, l’ère du « New Green Deal » est enterrée, a déclaré Elon Musk, patron de la marque de voitures électriques. Cependant, le PDG de Tesla, qui a été conseiller à l’efficacité gouvernementale du sortant Donald Trump, pense que General Motors, Ford et Stellantis seront les perdants de la décette.
Selon les informations, le nouveau président américain a entamé un virage à 180 degrés dans les objectifs de réduction des émissions de CO2 dans l’automobile. Le projet de loi qui visait à assurer que la moitié des nouveaux véhicules vendus aux États-Unis soient électriques d’ici 2030 a été révoqué. C’est un revers pour la région bénéficiaire de la subvention pour les ventes de véhicules 100% électriques, mise en place par le gouvernement Biden en 2021.
Les États comme la Californie, qui avaient pris l’initiative d’interdire les ventes de véhicules thermiques neufs à partir de 2035, alignant ainsi sur le calendrier européen, vont également devoir s’adapter à cette nouvelle donne. Pour Donald Trump, qui s’était lancé campagne sur l’« âge d’or » du pétrole aux États-Unis, il s’agit de repousser les ambitions vertes et de réduire l’influence de la technologie électrique dans l’industrie automobile.
Musk, quant à lui, estime que la décette du « New Green Deal » va frapper durement General Motors, Ford et Stellantis, qui ont investi massivement dans la production de véhicules électriques. Selon lui, ces entreprises vont devoir faire face à de graves difficultés financières, alors que Tesla va s’en sortir avec son portefeuille varié de modèles électriques.
Mais le patron de Tesla ne cache pas sa satisfaction de voir s’effondrer l’architecture antécédente des ambitions vertes dans l’industrie automobile. Musk est convaincu que Tesla a toujours surpassé ses concurrents, en termes de technologie et de design, et qu’elle est mieux préparée pour affronter les défis économiques de l’avenir.
Cependant, la décette du « New Green Deal » est un coupdur pour l’industrie automobile aux États-Unis, qui s’efforce de répondre aux attentes de la croissance du marché des véhicules électriques. Les partisans de l’environnement et les éco-activistes sont également déçu par cette décette, qui pourrait compromettre les efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Le leader de la compagnie de voitures électriques estime également que la décette va avoir un impact positif sur la société, car elle favorisera la concurrence et incitera les autres marques à se dépasser pour répondre aux demandes des consommateurs. Selon lui, cela leur fera adopter des solutions plus innovantes et plus durables.
L’avenir qui s’ouvre pour l’industrie automobile aux États-Unis, en termes de technologie et de design, est également l’enjeu de la bataille pour l’âge d’or du pétrole, que prétend défendre Donald Trump. Musk est convaincu que la technologie électrique va prendre le dessus et que les voitures à essence vont s’effacer comme les dinosaures. Si cela se confirme, la décette du « New Green Deal » pourrait être l’un des plus grandes mutations de l’histoire de l’industrie automobile américaine.
Cependant, il est important de noter que la décette du « New Green Deal » ne signifie pas la chute de la technologie électrique dans l’industrie automobile. Les marques de voitures étrangères comme Tesla, Volkswagen et Nissan ont déjà investi massivement dans la production de véhicules électriques et hybrides, et ce trend continuera malgré la décette du « New Green Deal ».
En résumé, la décette du « New Green Deal » est un coup dur pour l’industrie automobile aux États-Unis, mais Tesla, qui a toujours investi massivement dans la technologie électrique, en est convaincu que cela va frapper durement General Motors, Ford et Stellantis. Cependant, cette décette pourrait également favoriser la concurrence et inciter les autres marques à se dépasser pour répondre aux demandes des consommateurs.