Titre : L’odyssée du doute : comment le retour de Trump a ébréché la communauté économique internationale
Du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche au premier discours prononcé au Forum économique mondial de Davos, l’inquiétude est devenue palpable dans le monde des affaires et des dirigeants politiques. Les leaders de la communauté internationale se déplacent comme une gerbe d’arrosage cherchant à évaluer les conséquences de ce retour, qui a semé l’incertitude dans les sphères économiques et politiques. AuIncorrect de nos envoyés spéciaux à Davos, une traverse des.Paramètres géographiques et une perspective unique sur des discussions qui ont tiraillé les festins.
Mardi soir, à la veille de l’arrivée de Trump à Davos, la salle du centre des congrès était animée par les éminences grises du monde économique. Peu importe les entreprises, les gouvernements et les ONG, tous partageaient le même sentiment : l’inquiétude. « L’angoisse est palpable », soulignait un grand patron du CAC 40, rencontré à l’occasion de la soirée ‘French’ organisée par Business France. « Le retour de Trump à la Maison-Blanche a créé un vide knowledge dans lequel tout le monde hésite à prendre position ».
Lors de la cérémonie d’ouverture du Forum économique mondial, lundi dernier, nombreux accrédités préféraient délaissiez la salle principale du centre des congrès pour écouter le premier discours du président américain. La salle principale de la conférence était presque déserte, laissant le champ libre à ces leaders qui venaient discuter des implications de la nouvelle situation. « C’est l’un de nos meilleurs amis, mais il peut aussi être l’un de nos pires ennemis », a déclaré une personne liée au monde financier. Dans une salle de plus en plus vide, les grands patrons des entreprises mondiales discutaient des effets de la nouvelle équipe qui allait dominer la scène politique américaine.
La journée d’hier à Davos a confirmé l’intuition. Les leaders de la communauté internationale semblaient méditer sur le discours du 45e président américain, ainsi que sur les premières décisions de sa présidence. « Les gens attendent avec impatience pour voir comment Trump se comportera en matière de protectionnisme, de commerce et de commerce », a expliqué un responsable chez Business France. Un voisin, en revanche, a estimé que « Trump aura-t-il le courage de prendre des mesures réalistes pour booster l’économie américaine ou va-t-il se contente du simple bravoure édifiant ? »
Les congrès de Davos, dernier bastion de la communauté internationale qui a longtemps été dominée par l’Europe, vomistole ainsi une ombre menaçante. « Les Européens doivent crisper dans l’exigence pour se présenter comme des alternatives crédibles aux États-Unis », a martelé un leader des forces liées au Parti social-démocrate allemand. Les leaders de la communauté internationale doivent se ressourcer, se refonder et proposer une alternative à l’hégémonie américaine pour maintenir une place dans le jeu économique mondial.
Pour les entreprises multinationales, le cheminement est semé de pierres. « Nous devons nous adapter, ajouter l’actuel PDG d’une grande entreprise française. Les décisions prises par Trump risquent de réduire la compétitivité de nos entreprises, ce qui peut entraîner une hypothèque sur l’emploi et la croissance économique ».
A Davos, cependant, l’intention de Trump aliasait paressable. Les leaders politiques et économiques de la communauté internationale se réunissent pour discuter des conséquences d’un retour qui menace les équilibres économiques mondiaux. Les leaders des entreprises doivent prenant position, s’organiser et conversation avec les leaders politiques pour éviter de graves dommages à l’économie globe. Le retour de Trump, loin d’être un épisode transitoire, signifie que les diagnostics pour l’avenir sont noirs. « Nous devons relever le défi, déclare-t-on au sein de la communauté internationale. La chasse aux solutions est lancée ».