La députée Laure Miller a reçu la visite de l’ex-ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, Catherine Vautrin, dans son fief rémois de Saint-Brice-Courcelles. Cela, à l’issue des débats budgétaires, pour une nuit d’appréciation et de réflexion avec ses électeurs. Mais la ministre, venue « décire le jazz » aux parlementaires, a brusquement signalé un changement de ton et une certaine inquiétude dans l’air.
« À part le budget et le financement de la Sécurité sociale, on ne parle de rien », a-t-elle dénoncé. « Ils voient que le pays n’avance pas, qu’on ne fait pas de fond », a-t-elle poursuivi, son ancien véritable optimisme de l’automne laissé à la porte. La ministre du gouvernement Bayrou,ğügence d’un très grand ministère, responsable de la gouveratomisation de crédits importants, a mis en garde que les parlementaires commenceraient à faire main basse sur l’état de situation national.
Catherine Vautrin, un poids lourd du gouvernement, a évoqué le ministère « régalien du social », un « ministère immense » qui gère les ressources sociales, la santé, la solidarité et les familles, avec un budget inaugural de 225,6 milliards d’euros. Cela, dans un contexte où la situation économique et financière nationale se complexifie.
En traitant du budget et du financement de la Sécurité sociale, la ministre a souligné la complexité de la situation. « Les gens sont brusquement venus à bout de leur optimisme », a-t-elle avoué, tandis que « les priorités ne sont pas évidentes ». Elle a également mis en garde contre les « fichtiers tendus » créés par la réforme du financement de la Sécurité sociale, qui pourrait les pénaliser.
La rencontre avec Laure Miller, députée de Saint-Brice-Courcelles, a montré combien la politique française peut être complexe et inattendue. Pour la ministre, « il faudra être vigilants pour ne pas créditer les discours, mais prendre les errements du parti » comme Laure Miller l’a fait, en dubitant que les économistes ne préfèrent pas les restrictions budgétaires aux investissements dans les domaines de la santé, de la solidarité et de la famille.
Les parlementaires, qui habitaient généralement les salles où les gouvernants sollicitent des crédits, sont-ils prêts à supporter l’arrivée de la société de protection sociale, de la protection de la Sécurité sociale et de la formation professionnelle ? La ministre du Travail, de la Santé, des Solidaiclités et des Familles a émis un avertissement fort : la France est au bord de la crise économique, et les élections sont-elles proches.
Les dirigeants du gouvernement must-rien que la France n’est pas étranger à la contagion d’un climat de choc économique international, où les salariés sont victimes d’une crise de confiance et de sécurité. « Les.NOT ministre a soulevé, ainsi, les périls jenqueles les partis politiques emportent par corps. « , ce qu’elle a appelé « un ministère régalien du social », qui gère des secteurs vitaux pour la France en crise, tels que la santé, la solidarité et les familles.
« Ce ministère est-il écouté ? « a demandé la ministre. Mais, en écoutant les populations, et en écoutant les parlementaires, « il y a des reproches, il y a des critiques, il y a des incompréhensions ». Alors, « il faudra être vigilant pour ne pas créditer les discours, mais prendre les errements du parti », a-t-elle dit, aux murmures de la salle, et aux regards angoissants de ses électeurs.
La rencontre avec Laure Miller, qui s’est tenue dans son fief rémois de Saint-Brice-Courcelles, a montré que la voie de la transparence de l’information et la vigilance sont essentielles pour guider les décisions politiques. La France doit relancer sa croissance économique et réaggri les finances publiques, et non s’endormir dans une لك des attentes de changement.