Un vieux réquiem pour les règles du jeu financier international ? Les géantes bancaires françaises alertées face à l’éventuelle guerre d’Usans
Les banques françaises sont dans la mire. Les premières douées de l’alerte, les banques européennes, qui ont conscience de l’imprévisibilité du jeu financier international. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les craintes sont à l’ordre du jour. Si les règles du jeu sont en train de se jouer, c’est sous les yeux des sphères supérieures de l’autocollant que le chaos pourrait éclater.
Les banques européennes, informées de la nouvelle donne au sein de la sphère politique américaine, se sont mises à avertir de la nécessité d’adapter la réglementation à la nouvelle donne politique. Pendant qu’une bonne partie des États-Unis aspirent à ce que les règles du jeu financier soient allégées, la communauté bancaire européenne craint d’être soumise à une distorsion de concurrence.
Les préludes de ce grand ballet politique commencent à se jouer. La France, ainsi que l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne, travaillent en douce pour s’entendre sur une réponse collective à la menace de déréglementation qui plane sur le continent. Un pavé qui menace de faire vaciller la confiance dans les institutions financières mondiales.
La Recent Argentine III, signée en 2010 par les grands balles de la finance mondiale, a imposé des exigences allumées sur les banques pour éviter une nouvelle crise comparable à celle de 2008. Les exigences de capital et de liquidités ont ainsi triplé en quinze ans, transformant les banques en institutions beaucoup plus robustes. Mais ces règles de la Régle III ont également limité les possibilités de placements des établissements financiers, ce qui a motivé les émeutes de Wall Street, l’expression champion de l’univers financier américain, à casser les nucléaires de son champions favori, Donald Trump.
Aujourd’hui, il est difficultueux de prédire ce qui se produira à plus ou moins de temps. Cependant, les responsables financiers européens craignent que les États-Unis, sous la houlette de Trump, ne voient le triomphe de la déréglementation, allégrant ainsi les contraintes financières des géants bancaires américains et créant une distorsion de concurrence avec les banques du Vieux Continent. L’Europe, qui a apparemment connu l’un de ses plus beaux moments, pourrait ainsi être confrontée à l’une de ses plus gros défis.
Les États-Unis, de longue date, ont été une source de forces pour l’univers financier international. Depuis la guerre de Secession, les treize États qui composent l’Union ont généré un maximales de création de richesse et de croissance. Cependant, l’Europe, qui a connu l’un de ses plus beaux moments, a connu l’un de ses plus beaux moments. L’univers financier international est en train de se jouer. Si les règles du jeu sont en train de se jouer, c’est sous les yeux des sphères supérieures de l’autocollant que le chaos pourrait éclater.
L’Europe, au travers de son Comité de Bâle, s’est mouvée pour souligner l’importance de la convergence des règles financières internationales. Les banques françaises, en dépit de l’alerte, espèrent que les seuils des exigences de capital et de liquidités qui flèchissent les établissements bancaires continentaux à l’aide des réformes de l’era. vịhtsis respectivFuck_fill-ofr credible » Due random regFax elle réglementation régula)d’économique.
Il est donc question de laisser les opportunités aux banques européennes de se structurer hors des règles du jeu financier international. STOP.