Paris, le 10 mars 2024 – Alors que les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, semblent prendre le pourplat du monde économique, la France se meuvelà dans l’incertain. Les chefs d’entreprises, qui attendaient que les gouvernements successifs apportent une visibilité à leur avenir, se sentent abandonnés, fut-à-fut, dans un univers économique où la croissance est en berne et où le chômage augmente.
Dans une entrevue avec les journalistes économiques et financiers, Éric Lombard, ministre de l’Économie, a reconnu que les sujets d’inquiétude sont innombrables et que l’heure est « grave » pour la France. Mais les patrons ne sont pas satisfaits de cette reconnaissance et demandent plus : une action concrète pour relancer l’économie et l’emploie.
« Nous avons le choix entre la peste et le choléra », a dit Patrick Martin, président du Medef. « On a le choix entre l’instabilité politique ou la dégradation des finances publiques. » Les patrons s’inquiètent de la lourde alliance entre le Parti socialiste et les Républicains, qui a redevenu majoritaire, et qui voit dans la suppression des retraites anticipés la liste pour faire face à la crise économique.
Les patrons peinent à faire entendre leur voix. « Les relais politiques n’ont pas disparu mais sont mutiques » a dit François Asselin, ancien président de la Commission des Établissements de Placement de la Métallurgie, de l’Électrométallurgie et de la Chimie. « On est dans un temps suspendu. Tous les regard fixés sur le vote du PLF et du PLFSS, mais il n’y a pas de projection pour la suite. » Les politiques semblent vivre dans une réalité parallèle, déconnectée des enjeux concrets auxquels font face les TPE-PME.
Les patrons se lassent de la litanie des mensonges judiciaires et des discours bien pensants, mais qui ne menent à rien. « Les politiques ne peuvent pas continuer à ‘mener sans écouter les patrons ! » a dit Sophie de Menthon, présidente du mouvement patronal Ethic. « Les relais politiques n’ont pas disparu mais sont mutiques. » Elle a ajouté : « On est dans un temps où il faut parler de fait et non de bien-penser. »
Les patrons, qui ont vu les gouvernements successifs promettre et ne pas tenir, ont fini par perdre confiance dans les discours bien-pensants. « C’est pire qu’un manque de relais, c’est un vrai antagonisme entre les patrons et la classe politique, qui n’intéresse pas à l’entreprise » a dit d’Amir Reza-tofighi, nouveau président de la CPME. « Les politiques ne peuvent pas continuer à ‘manager’ sans écouter les patrons ! »
Les patrons, qui ont vu les gouvernements successifs promettre et ne pas tenir, ont fini par perdre confiance dans les discours bien-pensants. Les patrons, qui attendaient que les gouvernements successifs apportent une visibilité à leur avenir, se sentent abandonnés, fut-à-fut, dans un univers économique où la croissance est en berne et où le chômage augmente.
Les patrons, qui ont vu les gouvernements successifs promettre et ne pas tenir, ont fini par perdre confiance dans les discours bien-pensants. Les patrons, qui attendaient que les gouvernements successifs apportent une visibilité à leur avenir, se sentent abandonnés, fut-à-fut, dans un univers économique où la croissance est en berne et où le chômage augmente.
Les patrons, qui ont vu les gouvernements successifs promettre et ne pas tenir, ont fini par perdre confiance dans les discours bien-pensants. Les patrons, qui attendaient que les gouvernements successifs apportent une visibilité à leur avenir, se sentent abandonnés, fut-à-fut, dans un univers économique où la croissance est en berne et où le chômage augmente.
Les patrons, qui ont vu les gouvernements successifs promettre et ne pas tenir, ont fini par perdre confiance dans les discours bien-pensants. Les patrons, qui attendaient que les gouvernements successifs apportent une visibilité à leur avenir, se sentent abandonnés, fut-à-fut, dans un univers économique où la croissance est en berne ét maintenu.