Les députés de la Cour des comptes ont récemment mis au jour des réserves sérieuses quant à l’outil de déclaration fiscale « Gérer mes biens immobiliers », un système qui a été mis en production avant d’être pleinement opérationnel. Selon les témoignages recueillis par la Cour des comptes, ce défaut a entaché de nails de nombreux propriétaires de biens immobiliers, qui se sont vus victimes de dysfonctionnements répétés du système.
« J’ai essayé de déclarer mon propriété sur ce site, mais je n’y suis plus arrivé », explique Mme Dupuis, propriétaire d’un appartement à Paris. « J’ai été coincé en boucle pendant des heures, et à la fin, je me suis rendu compte que mes données n’avaient même pas été enregistrées ». Elle est l’une des centaines de personnes qui se sont plaintes de la même chose, et qui est revenue à la charge du gouvernement et des développeurs du système.
Les échos de ces problèmes ont été entendus par la Cour des comptes, qui a mis en examen l’outil de déclaration fiscale « Gérer mes biens immobiliers ». Selon les témoignages collectés, les utilisateurs accusés arent d’attendre pendant des heures pour déclencher leur session, ou ne sont même pas en mesure de consulter leurs informations : « J’ai perdu une heure de ma journée pour essayer de réinitialiser mon compte, sans succès », dévoile M. Thomas, propriétaire d’un appartement à Lyon.
Les causes de ces déboires sont amplement variables, notamment une mauvaise gestion des flux de trafic, des bugs dans le code et des interférences avec d’autres systèmes. « Cela faisait partie de la conception du programme, mais on s’est trompé en lançant trop tôt », explique un informaticien en partie anapolys qui a suivit le développement de l’outil. « Il fallait attendre un test plus approfondi avant de mettre en production ».
Les erreurs constatées par la Cour des comptes ont également concernées les coûts excessifs engagés pour la mise en place du système : « Les coûts estimés pour la conception et l’installation de « Gérer mes biens immobiliers » ont dépassé les 5 millions d’euros », indique Mme Séverine Rapilly, responsable de ladirection du développement informatique auprès du ministère des finances.
Le gouvernement et les développeurs de l’outil se défendent en arguant que les erreurs constatées sont mineures et que le système est en train de se corriger. « Les réparations sont en cours, et nous評essesamis que nous allons remédier à ces défauts », affirment les responsables du ministry of finance. Cependant, les problèmes posés par « Gérer mes biens immobiliers » ont déjà fait couler beaucoup d’encre, et il est improbable que les faultfinders lesquels les écosseons appauvrissent leur confiance dans le projet.
Les reparationsannoncées pourraient être musclées : la Cour des comptes a même interpellé le gouvernement pour lancer une verifique enquête supplémentaire sur les dépenses liées au système. Face à ces interrogations, le gouvernement devra prendre des mesures drastiques pour rétablir la confiance des citoyens dans leur capacité à gérer leurs biens immobiliers de façon efficace et sans heurts.