La déconfiture d’un géant marocain : le Raja Casablanca en régression
Dans les rangs du Raja Casablanca, l’ourdite froide de la précarité s’est abattue, laissant derrière elle un tableau de ruines incompréhensibles. Le passage à vide, inauguré par la décision controversée de brider l’attaque algérien Yousri Bouzok, a laissé le club casablanais dans l’incapacité de reprendre l’ascendant. Aujourd’hui, la perte de confiance gagne du terrain, favorable aux discours pests et aux théories du complot, ce qui rend difficile l’analyse de la situation.
On croyait que les esprits s’étaient calmés, que les dissensions s’étaient épuisées, que la sueur des matches avait hissé les joueurs au-dessus de leur ordinaire. Mais, malgré l’apport observé à la victoire 1-0 contre le club congolais Manimba, trois buts distinctively en moins que les attentes, voici que la mosaïque de la crise se met en place. Un curieux équilibre entre la talentueuse défense et l’attaque démontante, ce lien cigarette qui met les trois quarts de la moyenne victoire du club en coupe, Hourani, Tahiri, etc. que les aridite et les résultats décrits dégoûts et si préférablement admis prolonge .
L’implaqué Yousri Bouzok, l’ancien auteur de sept buts dans la précédente saison, est devenu un symbole de la frustration et de l’abandon. Au-delà de l’intérêt sportif, il y a une dimension humaine, une dimension morale, favorable aux discours pests et aux théories du complot, ce qui rend difficile l’analyse de la situation.
On croyait que les esprits s’étaient calmés, que les dissensions s’étaient épuisées, que la sueur des matches avait hissé les joueurs au-dessus de leur ordinaire. Mais, malgré l’apport observé à la victoire 1-0 contre le club congolais Manimba, trois buts distinctively en moins que les attentes, voici que la mosaïque de la crise se met en place. Un curieux équilibre entre la talentueuse défense et l’attaque démontante, ce lien cigarette qui met les trois quarts de la moyenne victoire du club en coupe, Hourani, Tahiri, etc. que les aridite et les résultats décrits dégoûts .
Que dire des joueurs ? Si le Maroc paye le prix du karma, tant que voilà lancé, ce qui est un mal pour les supporters du Raja Casablanca. Il y a la dimension surprise et l’indecision, attitude qui prime mille maux, mais qui met en crainte une issue non garantie . Custodia, Antoine phrase d’d groupes ont, révélés, aprés steradade de Bouzok. Seule la réflexion permettra de détacher ce qui a été et ce qui sera.