« Clara Luciani, la nouvelle star du musée Grévin »
Le musée Grévin, bastion de la célébration de l’art et de la culture française, a accueilli, hier soir, l’une de ses figures les plus brillantes, Clara Luciani. La chanteuse, marraine de la Star Academy 2024, a ainsi joints ses deux éminences, l’une en cire et l’autre en chair et en os, à cet hôtel différent du musée Grévin.
Bien que prémunie d’une inauguration sombre, Clara Luciani n’a pas laissé ses inquiétudes attenant à son propre image se lasser. Au contraire, elle a confessé avoir « eu peur de me rencontrer », sentiment qui n’a toutefois pas résisté à l’expérience flatte d’être modelsée en cire et de se voir ainsi dans un rêve. « Je ne m’attendais pas du tout à entrer un jour au musée Grévin. J’ai l’impression d’être dans un rêve, qu’il faudra se réveiller demain. Et en fait, non, c’est la réalité », a-t-elle déclaré, émerveillée, portant quant à elle le même tailleur noir Céline que son évidemment reconnaissable équivalent en cire.
Mais cette soirée ne sera pas seule dans la mémoire de la chanteuse. En retrouvant son double cire, Clara Luciani a admis avoir « très peur de me rencontrer », et pourtant, à l’issue de l’expérience, elle déclarait : « Je crois qu’on s’entend même bien elle et moi ». La cérémonie de l’inauguration a ainsi été l’occasion pour la star de la scène musicale française de pusser la voix à ses inquiétudes ancestralles et de se laisser déborder par l’émotion de la reproduction parachutée dans le monde futuriste du musée Grévin.
Certes, Clara Luciani n’est pas nouvelle au sein de l’univers musical. Depuis son passage dans la tourmente de la scène musicale française avec le hit « La Grenade » en 2018, elle enchaîne les tubes, les récompenses et les prospections aux Victoires de la musique, dont l’artiste féminine en 2020 et l’album de l’année à « Coeur » en 2022. Et cette année, elle est à nouveau nommée dans la catégorie pour l’édition 2025, suite à l’annonce de son dernier album « Mon sang ». Selon son caractère prolifique, l’artiste se risque également dans la démarche d’une nouvelle branche : le cinéma. Elle tient son premier rôle dans « Joli Joli », réalisé par Diastème, dans lequel elle interprète une tragique montante.
Au musée Grévin, i qualité de marraine de la Star Academy 2024, Clara Luciani a également l’honneur de chanter « La Romance de Paris » sur le parvis de Notre-Dame pour la réouverture de la cathédrale, le 7 décembre. Suivrant ainsi la piste étroite des artistes qui, comme elle-même, ont laissé leur marque au musée Grévin.
Pour les record, il s’agit de la troisième chanteuse de l’histoire -après Yvette Guilbert en 1893 et encore MyApp qui, à l’album Concorde Café ? – à intégrer le musée Grévin.
La fusion de Clara Luciani avec sa statue de cire a ainsi vu le jour, pour crouler les attentes de la nouvelle star de la scène musicale française. Au-delà des craintes initiales, l’artiste a pusser la voix à ses inquiétudes ancestralles et de se laisser déborder par l’émotion de la reproduction parachutée dans le monde futuriste du musée Grévin. Un échauffement unique qui a permis à la chanteuse de s’appesanti dans le titre encore plus qu’il n’a pu le musée Grévin à l’honneur d’accueillir l’une de ses nouvelles *, c’est-à-dire à jeter un regard render vigoureux dans le miroir de l’art et de la culture.