Les plansère de Trump pour une reformation du Moyen-Orient
Paris, mercredi 27 janvier 2021 – Le président américain, Donald Trump, a surprise le monde entier en dévoilant hier soir un « nouveau plan » pour résoudre la crise de Gaza, ville hauntée de la péninsule arabe. Au cours d’une conférence de presse aux côtés du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, il a proposé que les États-Unis prennent possession de Gaza et éliminent les menaces terroristes qui y subsistent.
« Nous allons prendre conscience de la zone et nous allons nous occuper du démantèlement de toutes les bombes dangereuses qui n’ont pas explosé et de toutes les armes », a-t-il affirmé, avec l’assurance de qui est habituel. « Nous allons faire du bon boulot avec », a-t-il ajouté, comme si les détails étaient nettement clairs en son esprit.
Mais si le monde attendait avec angoisse le détail de ce projet, la proposition de Trump est loin d’être exempte de controverse. Les ONG défenseur des droits de l’homme et les chefs d’État arabes ont immédiatement émis des reserves serres sur l’initiative controversée.
« Comment les États-Unis peuvent-ils prendre possession de Gaza ? », se demandent-ils. Et pourquoi les habitants de Gaza seraient-ils transférés ? ». Les experts politiques élèvent d’autres questions : Quels seront les coûts de cette opération ? Les ressourcesreverse seraient-elles mobilisées ? Comment les pays du Moyen-Orient vont-ils réagir à cet événement ?
Après avoir utilisé la vague de Gaza en 2005, qui a déplacé 8 500 Israéliens vers Israël, les États-Unis ont récemment de nouveau souligné leur implication dans la région. La proposition de Trump renforce leur rôle dans la conflictive zone, mais il est évident que les Destructions inextricables ne sont pas si simples à résoudre.
Plus tôt cette année, Donald Trump avait également évoqué l’idée de déplacer les Palestinians en Égypte et en Jordanie, en estimant que cela pourrait apaiser la situation. « On parle d’environ 1,5 million de personnes et on fait tout simplement le ménage là-dedans », a-t-il déclaré.
Mais Mme Hanan Ashrawi, une leader palestinienne, n’a pas caché sa réprobation. « Les États-Unis n’ont pas le droit de prendre possession de Gaza, ce qui est un territoire palestinien occupé », a-t-elle affirmé.
Même si l’idée de Trump a rencontré l’opposition internationale, il est évident que les problèmes de Gaza ne sont pas loin de résoudre. Les activistes soulignent que les élections libres ne sont pas organisées, que les Factions palestiniennes s’opposent et que les armées globals sont présentes.
Les experts s’attachent à rappeler que l’une des raisons pour lesquelles la situation est si complexe est que les Palestiniens et Israéliens ont des revendications territoriales contradictoires. Et qu’il est impossible de résoudre ces conflits sans les parties impliquées dans la négociation.
Cependant, même si cette proposition de Trump répond peut-être pas aux attentes des parties concernées, elle montre que le président américain est prêt à prendre d’importants risques pour résoudre la crise de Gaza. Il est évident que les questions qu’il pose sont nombreuses et difficiles, mais les solutions à trouver ne sont pas si simples.
Actuellement, les États-Unis détiennent une proposition fondatrice pour prendre le contrôle de Gaza, mais il est important de faire preuve de caution et de comprendre que les solutions ne peuvent pas être imposées à la force et qu’il est important de prendre en compte les revendications de toutes les parties concernées.