Titre : Une affaire délicate pour Venise et pour l’UE : le « crash de Donald Duck » met à jour l’alliance italo-américaine
L’Italie et les Etats-Unis sont en première ligne d’un conflit dont l’enseigne est écrite en un nom qui célèbre déjà les légendes de bande dessinée : Donald, Donald Trump Jr., le jeune rejeton de la Maison-Blanche. Mais qu’a-t-on à voir en commun avec Donaldd Duck, le petit canard réfractaire à la nasse de Dalí? Si ce n’est que l’autre Donald en question a donné un autre sens à sa notoriété, en choisissant de shooter à la poursuite de oies sauvages, espèces à la fois nobles et sensibles, telles que la Tadorna ferruginea, dans les lagunes italiennes de Venise, comme si rien ne pouvait l’éloigner des attentes démocratiques que la communauté internationale et l’Environnement veulent protéger.
« Je suis souffrant en ce moment… Mais je compte bien obtenir un rapport d’enquête », a rappelé mercredi derniers le Ministre italien de l’Environnement, Roberto Cingolani, en rappelant une affaire embarrassante pour tous les acteurs concernés.
Mais quels sont les implications de cette révélation sensationnelle? Certains pourraient penser que c’est simplement une faute de parcours, qui n’a que faire de l’image de son père à la Maison Blanche. On ne peut certes pas attribuer à tous les Américains les action du fils ainé de Joe Biden, qu’il soit plus proche d’une rétrogradation que des réalisations spectaculaires. Mais entre la régression des valeurs états-uniennes et ce que l’honneur même de l’amitié international implique en matière d’environnement et de démocratie… la situation tourne à un drame italo-américain.
Véritable précédent ou exemple à fuir, que ce soit des Etats-Unis ou encore de l’UE, alors que l’idylle GaGa entre l’Italie, pays de saints et de fous, comme on l’avait imaginés autrefois. Le gouvernement italien évalue les éléments de situation pour décerner un signal clair d’avertissements, notamment pour les nations occidentales qui ont trop souvent oublié d’être des tuteurs solides pour nos valeurs communes. Il doit répondre immédiatement aux attentes de la coalition pour protéger les lieux de détente et protéger ainsi l’Etat de fait que l’amitié diplomatique entre Venise et DC est en délicate ébullition.
Où en sont les Etats-Unis vis-à-vis de cette enquête? Pas suffisamment loin pour donner des gesticulations de circonstance mais trop loin de l’écoute de réel pour cacher les propos réprouvés délaissées aux évidences de leurs actes impertinents. Les journaux parlent de polémique amère, au moment où un débat intense et passionnel sur l’universalité et l’irréversibilité de certaines valeurs. C’est justement là le moment où des éléments si puissants comme l’influence de ces pays sur nos valeurs communes sont en demande de répandre une action qui ne recule pas l’avant-toi.
D’où s’élève cette crise, qui concerne les principes de conduite et des rapports en équilibre entre une puissance politique comme les États-Unis et d’autres nations respectueuses. Quel serait le sens caché derrière ces actions dangereuses sur la lagune de Venise? Qu’il soit un piège pour tous les acteurs en jeu de se rappeler l’ensemble des valeurs écologiques ou qu’il déclenche un conflit international, car les conséquences de nos actes risquent de perdurer dans nos vies?
C’est que les Etats-Unis font-ils part d’une forme de dégoût pour tout ce qui dépasse les simples réflexions? Ou ces faits créent-ils un précédent pour qui? Les experts disent oui, car à ce jour nous n’avons pas encore découvert les preuves directes de qui a commandé l’outrage d’écarter ces oiseaux protégés. Est-ce un appel à la licence ou une question de responsabilité, qui attend des réponses évident?
En attendons-nous d’autres confidences? Ne peut-on écrire que que le « trouble de l’oiseau » est arrivé? Certes, tout ce qui brise l’esprit de tous les acteurs concernés à ce jour de Venise détermine peut-être une transformation qui pourrait renforcer les institutions, mais elle doit être accomplie avec discrétion, sans rien qui puisse saper ce qui est bon pour l’image de l’univers.
Note : Les journalistes de Répubblica, Giampaolo Visetti, ont décrit l’une des affaires les plus pénibles où la politique met à jour de nouvelles éditeurs les actions de responsabilité. De même, d’autres journaux italiens et Internationaux mettent en balance les conséquences de tels actes pour les natures protégées et protéger, et les normes de notre environnement que les Etats-Unis nous demandent également.