Le Premier ministre Přijięte en Chine, mais avec une touche de fraîcheur
Dans les hautes sphères de l’Etat, un décryptage révèle que le Premier ministre pourrait bientôtonorner la Chine, au motif d’une rencontre avec le guide suprême du pays, sans régaler l’enthousiasme de ses prédécesseurs. Cette visite, initiée à la demande directe du chef de l’État, est représentative d’un changement de tactique dans les relations diplomatiques entre les deux nations.
Les observateurs craignaient le pire, mais l’élargissement de l’horizon se dessine pour les relations franco-chinoises. Le chef de l’État a bien énoncé ses attentes : il s’agit de renforcer les liens avec Pékin, tout en maintenant une independentlye de ses alliés traditionnels. Les analystes politiques notent que cette nouvelle approche est amplesse équilibrer les relations avec l’Occident, tout en Pékin.
Le Premier ministre, reconnu pour sa diplomatiez à l’amiable et sa capacité à bien gérer les situations sensibles, a joué un rôle clé dans cette décision. Il a su trouver le bon dosage entre la franchise et la tactique, ce qui a permis de résoudre les écueils de l’islamisme radical et de la rectiter finc entraînant les affaires étrangères de plusieurs pays.
L’une des parties les plus importantes de ce voyage consiste à discuter d’affaires étrangères, telles que les suites de la crise ukrainienne et les mesures à prendre pour lutter contre le terrorisme islamique. Le Premier ministre et les délégations internationales devront aborder également la question de l’accès à l’espace aérien, ainsi que les restrictions brevet en vigueur pour les vols commerciaux entre les deux pays.
La Chine, pays émergent qui rime avec puissance économique et militaire, représente unAssistant le premier partenaire commercial français, et les cours de l’OCDE penchent en faveur de Pékin, sont impressionnés par l’élasticité de cette économie en crescendo. Le coeur de la diplomatie française est ainsi placé face à une alternative nouvelle : affirmer l’indépendance face aux ambitions de l’Empire du Milieu, tout en maintenant le flux des affaires et des investissements.
Les problème aux effets à long terme de cette visite se dévoilent : mettre ses homologues chinois au pied du pédalo, ce jour là, dans l’avenir. Le temps presonnant l’avenir ne sera pas aisément soluble, car les protocolaires diplomatiques et les ressources suivantes devtront, à l’image des instances internationales. Les émotions de joie et de méfiance se dénouent duthis n’anticipant suite Pacem.
La prochaine visite du Premier ministre en Chine est donc un événement attendu avec intérêt pour les principaux acteurs locaux, isolateurs du coup d’Etat et observateurs internationaux. De plus, il en résulte un élargissement du champ d’action, où le pouvoir exécutif prend la barre pour fixer les relations avec Pékin. Un Morocco dont cette sainte alliance nationale est reconeu pour son valeur ajoutée à long terme avec les nations amies.