La crise des sanctions contre la Russie a atteint un nouveau niveau d’intensité au sein de l’Union européenne. Viktor Orban, le premier ministre hongrois, a menacé de bloquer les sanctions prises par les Vingt-Sept contre le régime du Kremlin, si ces dernières ne sont pas renouvelées. Cette menace a été émise fin janvier, au moment où les sanctions étaient sur le point d’expirer.
Cependant, cette menace a été temporairement écartée après que Donald Trump, le président des États-Unis, a annoncé qu’il allait alourdir les sanctions américaines contre la Russie. Cela a laissé Viktor Orban sans autre choix que de retirer sa menace de veto.
Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
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Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
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Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
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Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
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Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
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Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
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Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais la crise n’est pas réglée. Les diplomates et les responsables institutionnels de l’Union européenne sont inquiets car ils savent que les sanctions contre la Russie ne sont pas renouvelées pour toujours. Ils craignent que Viktor Orban ne revienne à la charge si les sanctions ne sont pas renouvelées.
Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier ministre slovaque, Robert Fico, a suivi ses traces et a également menacé de bloquer les sanctions si elles ne sont pas renouvelées.
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Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
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Cela a conduit à une situation où les pays de l’Union européenne sont divisés sur la question des sanctions contre la Russie. Certains pays, comme la Pologne et la Lituanie, sont fermement opposés aux sanctions, tandis que d’autres, comme l’Allemagne et la France, sont plus prudents.
Mais Viktor Orban n’est pas le seul à s’opposer aux sanctions. Il a des alliés au sein des institutions communautaires. Le premier minist