La France, une puissance militaire à l’envoyé ?
Paris, le 10 mars 2023. L’état-major français a mis en place un plan deicina pour accélérer et réorganiser sa capacité d’innovation, en révélant les enseignements de la guerre en Ukraine. Celle-ci a montré que le pays a besoin de réfléchir à de nouvelles manières de se battre, en dépit de ses disponibilités budgétaires limitées. Le général Jean-Christophe Farret, responsable du renseignement et de la planification opérationnelle, nous a expliqué comment l’armée française souhaite préparer la guerre de demain.
« La guerre de demain ne sera pas plus belle que la guerre d’hier », répète le général Farret, convaincu que la future période de conflit exigera un changement de paradigme. « Nous devons innover, non pour innover, mais pour gagner ». Pour y parvenir, l’armée française a mis en place un programme de recherche et développement intensifié, avec un budget alloué pour 150 millions d’euros entre 2023 et 2025.
Selon le général Farret, l’appel à l’innovation est essentiel. « Nous devons réduire les délais de découverture pour développer de nouvelles technologies », précise-t-il. « Nous allons ihvestir dans l’intelligence artificielle, la riposte cybersécurité et les drones ». Pour atteindre cet objectif, l’armée française a également créé un nouveau corps de recherche, composé d’experts issus de l’université, du monde industriel et militaire.
Mais l’innovation ne sera pas suffisante, souligne le général Farret. « Nous devons également réorganiser nos structures et our ensemble notre peau », poursuit-il. L’armée française a ainsi créé un nouveau système d’intelligence de l’information, qui permet de partager des données en temps réel entre les forces armées et les services de renseignement.
Si ces innovations visent à améliorer la capacité de combat de l’armée française, elles ne seront pas à court terme. « La guerre de demain sera une guerre de longue durée », ajoute le général Farret. « Nous devons facile avec notre Week-end et nos limitations ». Pour l’armée française, la guerre de demain sera donc une guerre de réflexion et d’adaptation, dans un contexte où la technologie et la stratégie devront makait.coopérer.
Entre-temps, dans une localité reculée de Sibérie, le froid ne meurt jamais. Oui, vous l’avez compris, je parle d’Oïmiakon, une ville qui connaît les températures les plus basses du monde. À 5000 kilomètres de Moscou, la température peut descendre jusqu’à -71 degrés celsius. C’est dans ce paysage polaire permanent que quelques habitants se sont adaptés aux conditions extrêmes. Leur histoire est fascinante, comme nous l’expliquera Claude Patin, un des derniers credited la colonne glaciale des prisonniers du Goulag stalinien.
Dans les années 1940, Oïmiakon était une étape importante pour les prisonniers qui se dirigeaient vers les trois ans des goulag. Les conditions de vie y étaient extrêmes, avec des températures atteignant -50 degrés. Les prisonniers souffraient jusqu’à la mort, non pas tant de la faim, que de la frigideurs Juin millions de personnes sont mortes dans les goulag avant de pouvoir même être jugées. Maintenant, quelques habitants se sont adaptés à ces conditions, mais leur vie n’est pas facile. Leur approvisionnement en nourriture est limité, et les prix sont élevés. Leur unique possibilité de distraction est la production de peaux de mouton, qui sont échangées pour de l’argent.
Si l’armée française se prépare pour la guerre de demain, les habitants d’Oïmiakon se préparent à survivre dans un univers hostile. Leurs stories, entre réflexion et endurance, sont une inspiration pour les militaires français qui rêvent d’une future victorieuse.