Le gardien du patrimoine : Didier Rykner, un journaliste militant contre le wokisme dans les institutions culturelles
Depuis un an, Didier Rykner, fondateur de La Tribune de l’art, milite sans relâche contre le projet de vitraux contemporains à Notre-Dame de Paris, symbole du patrimoine français. Mais son combat ne s’arrête pas là. Son dernier ouvrage, "Mauvais genre au musée", publié le 5 mars aux éditions Les Belles Lettres, dénonce le wokisme qui s’épanouit dans les institutions culturelles anglo-saxonnes et prévoit son arrivée imminente dans les musées français. Avec une productivité remarquable, Rykner écrit sans cesse, utilisant le "nous" de majesté, ce qui lui confère une réputation solide dans le milieu de l’art et du patrimoine.
L’homme est une énigme. À 63 ans, il conserve une allure décontractée, mais son esprit reste constamment en éveil. Son enthousiasme et sa détermination sont palpables lorsqu’il parle de son travail. "Je suis un journaliste militant, je ne m’en cache pas", déclare-t-il avec conviction. Son but est clair : défendre le code du patrimoine, qui selon lui, est menacé par les courants déconstructivistes et woke qui envahissent les institutions culturelles.
Son enquête, "Mauvais genre au musée", ratisse large et examine les méandres du wokisme dans les institutions culturelles anglo-saxonnes. Rykner démontre comment ces idéologies, nées dans les universités américaines, se sont propagées dans les musées, les galeries d’art et les théâtres, remettant en question les valeurs traditionnelles de l’art et de la culture. Il dénonce le recyclage de l’histoire de l’art, les réécritures de l’histoire et les manipulations de la mémoire collective pour servir des intérêts idéologiques.
Lorsqu’on lui demande ce qui le pousse à mener ce combat, Rykner rétorque : "Je veux protéger notre patrimoine, qui est menacé par ceux qui veulent le détruire pour imposer leur propre vision du monde". Il ajoute : "Je ne suis pas contre la modernité, mais contre la destruction de notre héritage culturel". Son livre est un cri d’alarme, une mise en garde contre les dangers du wokisme, qui selon lui, peuvent conduire à la disparition de l’art et de la culture tel que nous les connaissons.
La question qui se pose est : comment ce journaliste militant a-t-il acquis une telle notoriété dans le monde de l’art et du patrimoine ? La réponse se trouve dans sa capacité à produire des enquêtes de haute qualité, qui font souvent trembler les responsables des institutions culturelles. Ses articles, publiés sur son site La Tribune de l’art, sont lus par plus de 10 000 abonnés et sont souvent repris par les médias traditionnels. Son influence s’étend au-delà des frontières françaises, car ses analyses sont traduites et diffusées dans plusieurs pays.
Didier Rykner est devenu un caillou dans la chaussure de ceux qui, selon lui, "massacrent le patrimoine". Ses dénonciations ont déjà valu à certains responsables des institutions culturelles d’être sanctionnés ou même destitués. Il est devenu une référence pour les défenseurs du patrimoine et de la culture traditionnelle, qui voient en lui un champion de leur cause.
Son engagement militant ne se limite pas à la défense du patrimoine. Il est également un défenseur de la liberté d’expression et de la démocratie. Selon lui, la liberté d’expression est menacée par les idéologies totalitaires qui veulent imposer leur vision du monde et censurer les voix dissidentes. Il estime que la démocratie est en danger lorsqu’on permet aux idéologies extrêmes de prendre le pouvoir dans les institutions culturelles.
En conclusion, Didier Rykner est un journaliste militant qui défend le patrimoine et la culture traditionnelle contre les dangers du wokisme. Son enquête "Mauvais genre au musée" est un cri d’alarme qui devrait être lu par tous ceux qui se soucient de l’avenir de la culture et de l’art. Sa détermination et son engagement sont un exemple pour nous tous, car il nous rappelle que la défense de notre patrimoine est une responsabilité collective. Nous devons nous unir pour protéger notre héritage culturel et empêcher que les idéologies totalitaires ne détruisent notre héritage.