L’abandon des Zones à Faibles Émissions : une victoire pour les défavorisés et un échec pour la technocratie
La décision de l’Assemblée nationale de supprimer les Zones à Faibles Émissions (ZFE) du projet de loi « Simplification » est une victoire majeure pour les défavorisés et un échec pour la technocratie qui avait imposé cette mesure sans tenir compte des besoins et des réalités des citoyens. Pour Alexandre Jardin, écrivain et initiateur du mouvement Les #Gueux, cette décision est unutschéedo pour la démocratie et la justice sociale.
Depuis janvier, Jardin s’était engagé dans une lutte acharnée contre les ZFE, qu’il considérait comme une mesure méprisante et violente envers les plus défavorisés. Avec la publication de son livre « Les #Gueux », il avait réussi à mobiliser l’opinion publique et à fédérer un large mouvement de contestation qui a finalement abouti à la suppression des ZFE.
La victoire de Jardin et des défavorisés est d’autant plus significative qu’elle montre que, lorsqu’on s’adresse aux valeurs des citoyens et qu’on leur explique les enjeux, il est possible de faire changer les choses. Les ZFE étaient présentées comme une mesure nécessaire pour améliorer la qualité de l’air, mais en réalité, elles auraient eu pour effet de pénaliser les plus défavorisés, qui sont déjà les plus touchés par la crise économique et les difficultés sociales.
La suppression des ZFE est également un échec pour la technocratie, qui avait imposé cette mesure sans tenir compte des besoins et des réalités des citoyens. Les technocrates avaient présenté les ZFE comme une mesure nécessaire pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre, mais ils n’avaient pas pris en compte les conséquences sociales et économiques de cette mesure sur les plus défavorisés.
Pour Jardin, la victoire de la suppression des ZFE est un premier pas vers une réforme plus profonde du système politique et social. Il estime que la France a besoin d’un référendum d’initiative populaire pour permettre aux citoyens de se prononcer directement sur les questions qui les concernent. Il est également nécessaire de mettre fin à la technocratie et de reconnecter le système politique avec les réalités et les besoins des citoyens.
La suppression des ZFE est également un exemple de la puissance de la mobilisation citoyenne et de l’importance de l’engagement politique. Lorsque les citoyens s’unissent et se mobilisent pour défendre leurs droits et leurs intérêts, ils peuvent faire changer les choses. La victoire de Jardin et des défavorisés est un encouragement pour tous ceux qui luttent pour la justice sociale et la démocratie.
Enfin, la suppression des ZFE est un rappel que la politique doit être au service des citoyens et non l’inverse. Les politiques publiques doivent être conçues pour améliorer la vie des citoyens et non pour servir les intérêts des puissants et des lobbies. La victoire de Jardin et des défavorisés est un pas vers une politique plus démocratique et plus juste.
Les Zon